La mélodie des mots, (pastiche)
Douce balancelle, ton présent sur cette pochette de soie
Présente la petite jouissance de mes riantes rêveries,
Pour cet éveil enlaçant qui me rapproche de toi,
Pour nous dire le bien de te consoler de mes petites pitreries.
Tu es partout présente des joies et tristesses que tu apportes,
Cette marée qui dodeline entre l'absence et ta pleine vie,
Cette chaleur personnelle qu'à nous tous, tu apportes,
Avec cette majestueuse pérennité dans laquelle tu survies.
Près de mes oliviers centenaires, je lis tes mots qui m'appellent,
Etrange message de rires, de disponibilités et d'espoirs cruels,
D'une jeune femme ayant déjà subit les affres et des pépins,
De ta grande tournée avec tes amis pour partager dès demain.
De ton petit siège Toulousain, tu navigues sur le fleuve de ton cœur,
Comme une fée heureuse, menant à la baguette ou tout comme,
Plongeant aux fonds des yeux, enlevant les larmes du malheur,
Pour un avenir irréprochable de ton cœur ou en retrouver la forme.
Douce balancelle, ton présent sur cette pochette de soie
Présente la petite jouissance de mes riantes rêveries,
Pour cet éveil enlaçant qui me rapproche de toi,
Pour nous dire le bien de te consoler de mes petites pitreries.
Tu es partout présente des joies et tristesses que tu apportes,
Cette marée qui dodeline entre l'absence et ta pleine vie,
Cette chaleur personnelle qu'à nous tous, tu apportes,
Avec cette majestueuse pérennité dans laquelle tu survies.
Près de mes oliviers centenaires, je lis tes mots qui m'appellent,
Etrange message de rires, de disponibilités et d'espoirs cruels,
D'une jeune femme ayant déjà subit les affres et des pépins,
De ta grande tournée avec tes amis pour partager dès demain.
De ton petit siège Toulousain, tu navigues sur le fleuve de ton cœur,
Comme une fée heureuse, menant à la baguette ou tout comme,
Plongeant aux fonds des yeux, enlevant les larmes du malheur,
Pour un avenir irréprochable de ton cœur ou en retrouver la forme.