Tes yeux flous me questionnent sans envies de réponses.
Je repose mon attention, sans un geste, et sans prononcer, tout ce qu’il me reste à dire.
Ta silhouette se reprend, ton regard se détourne, avec apparemment, l’Image de quelqu’un d’autre à qui penser, pour te sentir autre.
Dans ‘ta fuite en abandon’, tes non dits s’apparentent à tes réponses ;
Celles que j’aperçois pour tellement !
Avec toutes ces belles phrases ;
Celles que l’on vante comme des souvenirs.
Comment les prononcer sans les ressentir ?
Peut-être parce que ces mots : ne sont plus que des mots qui s’éprennent des reproches pesant sur nos rancœurs !
Voici toute notre clarté, habituée à reprendre et à relever, pour prétexter nos absences : avec notre méfiance…
Ainsi, le passé s’amoncelle dans de ritournelles Obsessions, désencombré de la raison d’aimer vraiment.
Nos voies de peines ont creusé leur cul-de-sac, avec des jurements raccourcis, comme ;
“ Avec toi, tout est si important ! ” -
Et maintenant ?
L’Autre ! Cet unique rapport ! Si transporté vers ses Abîmes de sur Bonheur, reflète son indifférence, jusque dans ses
mensonges.
Ensuite ;
En bons Camarades, nous nous racontons de nouveaux les mêmes choses, sur un Ton plus pronateur : “ Comment vas-tu ? ”
-À partir de cela, commence l’Exil !
Le Mieux, Ennemi jurant, peut nous laisser las.
Alors, autant faire pire !
Surtout avec cette prochaine marque de tendresse, attendue par un pied si ferme, pour assister la naissance du sentiment
séparateur de l’Union, et admirer une exaltation que nos membres aboient.
Nos années communes ont encerclé notre intimité, avec l’interrogatoire centrifuge de nos peurs ;
L’un contre l’autre.
Depuis, nos gestes et nos dires se transfèrent vers quelques autres, différents, insinuant plaisirs et divergences :
dans l’Entrepôt des phantasmes et des possessions.
Nous pouvons enfin, reprendre la mission de nos craintes, en feignant une fois de plus, de n’admettre qu’il y a
‘toujours’ avant jamais.
Je repose mon attention, sans un geste, et sans prononcer, tout ce qu’il me reste à dire.
Ta silhouette se reprend, ton regard se détourne, avec apparemment, l’Image de quelqu’un d’autre à qui penser, pour te sentir autre.
Dans ‘ta fuite en abandon’, tes non dits s’apparentent à tes réponses ;
Celles que j’aperçois pour tellement !
Avec toutes ces belles phrases ;
Celles que l’on vante comme des souvenirs.
Comment les prononcer sans les ressentir ?
Peut-être parce que ces mots : ne sont plus que des mots qui s’éprennent des reproches pesant sur nos rancœurs !
Voici toute notre clarté, habituée à reprendre et à relever, pour prétexter nos absences : avec notre méfiance…
Ainsi, le passé s’amoncelle dans de ritournelles Obsessions, désencombré de la raison d’aimer vraiment.
Nos voies de peines ont creusé leur cul-de-sac, avec des jurements raccourcis, comme ;
“ Avec toi, tout est si important ! ” -
Et maintenant ?
L’Autre ! Cet unique rapport ! Si transporté vers ses Abîmes de sur Bonheur, reflète son indifférence, jusque dans ses
mensonges.
Ensuite ;
En bons Camarades, nous nous racontons de nouveaux les mêmes choses, sur un Ton plus pronateur : “ Comment vas-tu ? ”
-À partir de cela, commence l’Exil !
Le Mieux, Ennemi jurant, peut nous laisser las.
Alors, autant faire pire !
Surtout avec cette prochaine marque de tendresse, attendue par un pied si ferme, pour assister la naissance du sentiment
séparateur de l’Union, et admirer une exaltation que nos membres aboient.
Nos années communes ont encerclé notre intimité, avec l’interrogatoire centrifuge de nos peurs ;
L’un contre l’autre.
Depuis, nos gestes et nos dires se transfèrent vers quelques autres, différents, insinuant plaisirs et divergences :
dans l’Entrepôt des phantasmes et des possessions.
Nous pouvons enfin, reprendre la mission de nos craintes, en feignant une fois de plus, de n’admettre qu’il y a
‘toujours’ avant jamais.