LA GUEGUERRE DES BOUTONS
Trop c'est trop ! J'ai chopé sa VARICELLE, déferlante.
Je ressemble au pupitre de mon IMPRIMANTE.
J'ai la face en COLLIER boutonneux,
Sans compter cet INCENDIE venant d'eux,
Qui m'irradie, même sous mon CHAPEAU.
Il me manque la MOUSTACHE pour faire oripeau.
Je préfère être AVEUGLE plutôt que de voir
A quoi je ressemble dans ce MIROIR !
Je vais ANTICONSTITUTIONNELLEMENT, sans regret,
Commettre le MEURTREde ce FUNAMBULE, replet,
Qui, sur son ELASTIQUE, virevolte tel un PAPILLON.
HYPOTHESE de légèreté, bouton sur bouton.
Affublé d'un BALAI pour faire son numéro,
Pour lequel d'ailleurs, il est zéro,
Je vais faire un CROCHET et lui montrer
Que moi aussi je peux le faire voltiger.
Je ressemble au pupitre de mon IMPRIMANTE.
J'ai la face en COLLIER boutonneux,
Sans compter cet INCENDIE venant d'eux,
Qui m'irradie, même sous mon CHAPEAU.
Il me manque la MOUSTACHE pour faire oripeau.
Je préfère être AVEUGLE plutôt que de voir
A quoi je ressemble dans ce MIROIR !
Je vais ANTICONSTITUTIONNELLEMENT, sans regret,
Commettre le MEURTREde ce FUNAMBULE, replet,
Qui, sur son ELASTIQUE, virevolte tel un PAPILLON.
HYPOTHESE de légèreté, bouton sur bouton.
Affublé d'un BALAI pour faire son numéro,
Pour lequel d'ailleurs, il est zéro,
Je vais faire un CROCHET et lui montrer
Que moi aussi je peux le faire voltiger.