La grande plage.
Ce matin sur le sable de la grande plage,
j’ai dessiné les courbes de ton visage.
Éphémère vision voilée par la première vague,
souvenirs de moments sensuels, je divague.
J’ai couru jadis le sable de la grande plage,
Vers toi. Amoureuse tu m’offrais tes paysages.
Nus, nous nous roulions dans la blanche écume,
y cachant nos ébats en complices de la brume.
Un jour, sur le sable de la grande plage,
tes yeux perlés de larmes me disaient adieux.
J’ai passé ma main dans tes cheveux,
respiré tes parfums d’adolescente sauvage.
Loïc ROUSSELOT
Ce matin sur le sable de la grande plage,
j’ai dessiné les courbes de ton visage.
Éphémère vision voilée par la première vague,
souvenirs de moments sensuels, je divague.
J’ai couru jadis le sable de la grande plage,
Vers toi. Amoureuse tu m’offrais tes paysages.
Nus, nous nous roulions dans la blanche écume,
y cachant nos ébats en complices de la brume.
Un jour, sur le sable de la grande plage,
tes yeux perlés de larmes me disaient adieux.
J’ai passé ma main dans tes cheveux,
respiré tes parfums d’adolescente sauvage.
Loïc ROUSSELOT