Étreins moi sous cette aura,
Qui me fait pantin de bois.
Vite!il faut ce repentir,
Car le temps ne pense plus qu'a fuire
Son envole il ne veut plus suspendre.
Plus rien, il ne veut entendre.
Finalement cette éternité,
N'en peut plus de durer.
Désormais, l'arbre sage ce meurt,
Après tant d'hivers, après tant de pleurs,
Laissant place a de jeunes pousses,
Qui de toute les beauté de ce monde, Le détroussent.
Qui me fait pantin de bois.
Vite!il faut ce repentir,
Car le temps ne pense plus qu'a fuire
Son envole il ne veut plus suspendre.
Plus rien, il ne veut entendre.
Finalement cette éternité,
N'en peut plus de durer.
Désormais, l'arbre sage ce meurt,
Après tant d'hivers, après tant de pleurs,
Laissant place a de jeunes pousses,
Qui de toute les beauté de ce monde, Le détroussent.