Dans le bleu de ses yeux, dans l’or de ses cheveux
Cette blonde Ophélie avec son teint laiteux
Comme une fleur coupée encore épanouie
Inspire le poète, devient son égérie
Il remonte le temps, celui du grand Amour
Comme ils étaient heureux au milieu des : « toujours ! »
Et ils ne faisaient qu’un, faisant fi des critiques
Ignorant les jaloux, ils leur faisaient la nique
La jeunesse insouciante et parfois inconsciente
Ne peut imaginer que le destin cruel
Se prépare à happer de façon indécente
Cet être épanoui dans un bonheur réel
La fleur coupée se penche : elle a perdu la vie
Il n’en reste déjà qu’une image asservie
Qui s’étiole en son vase et reflète la mort
C’est notre lot à tous, que l’on soit faible ou fort !
Jan
Cette blonde Ophélie avec son teint laiteux
Comme une fleur coupée encore épanouie
Inspire le poète, devient son égérie
Il remonte le temps, celui du grand Amour
Comme ils étaient heureux au milieu des : « toujours ! »
Et ils ne faisaient qu’un, faisant fi des critiques
Ignorant les jaloux, ils leur faisaient la nique
La jeunesse insouciante et parfois inconsciente
Ne peut imaginer que le destin cruel
Se prépare à happer de façon indécente
Cet être épanoui dans un bonheur réel
La fleur coupée se penche : elle a perdu la vie
Il n’en reste déjà qu’une image asservie
Qui s’étiole en son vase et reflète la mort
C’est notre lot à tous, que l’on soit faible ou fort !
Jan