En ce soir étrange, je me couche,
Des tas de mots au bout de ma bouche,
Par la fenêtre, je vois le hêtre, mon compagnon de toujours,
En général, les lucioles tournent autour.
Mais ce soir aucun chant,
Ne brise mon tourment,
Je ne comprends pas pourquoi,
Je ne les ressens pas :
Le souffle du vent sur ma peau.
La chaleur des étoiles dans mon dos.
Pourquoi mon monde s'effondre ?
Pourquoi je me sens fondre ?
La pollution détruit notre atmosphère !
L'Homme tue sa propre Terre !
Les animaux, eux seuls ont comprit,
Que notre Terre dépérit.
Grenouilles, canards, moutons, chevaux, tous sont au courant,
Mais me l'avait déjà soufflé le vent,
Je me rappel un temps,
Il y a bien longtemps.
Ce même vent qui, à emmêler mes cheveux, jouait,
Pendant que la chaleur m'endormait,
Ce n'est plus pareil maintenant,
Car la Terre étouffe tout doucement.
Des tas de mots au bout de ma bouche,
Par la fenêtre, je vois le hêtre, mon compagnon de toujours,
En général, les lucioles tournent autour.
Mais ce soir aucun chant,
Ne brise mon tourment,
Je ne comprends pas pourquoi,
Je ne les ressens pas :
Le souffle du vent sur ma peau.
La chaleur des étoiles dans mon dos.
Pourquoi mon monde s'effondre ?
Pourquoi je me sens fondre ?
La pollution détruit notre atmosphère !
L'Homme tue sa propre Terre !
Les animaux, eux seuls ont comprit,
Que notre Terre dépérit.
Grenouilles, canards, moutons, chevaux, tous sont au courant,
Mais me l'avait déjà soufflé le vent,
Je me rappel un temps,
Il y a bien longtemps.
Ce même vent qui, à emmêler mes cheveux, jouait,
Pendant que la chaleur m'endormait,
Ce n'est plus pareil maintenant,
Car la Terre étouffe tout doucement.