concours : "journée de la Femme"
Médaille d'or dédiée à toutes les Femmes...
3 ... La Femme vue par l’homme.
Pour parler des Femmes, il faut parler des hommes qui de tout temps ont voulu être dominateurs et cherchant le plus souvent dans la force physique leur pseudo supériorité.
Dés l’époque préhistorique quand l’humain s’est redressé pour mieux avancer dans la savane, puis se mettant à l’abri dans les cavernes, cette différence n’a joué que pour la chasse. Mais on l’a caricaturé avec ce dessin qu’on veut faire croire humoristique : le mâle tout puissant traînant sa compagne par les cheveux pour lui imposer sa loi !
Avec les cueillettes de baies, elles sont aussi pourvoyeuses de nourriture que les hommes. Mais machistes déjà, ils n’ont pas daigné la représenter dans tous leurs graffitis sur la pierre !
Dans la Grèce antique, société patriarcale bâtie sur des exclusions : les métèques, les esclaves ne sont pas citoyens et dans les clubs d’hommes, les femmes sont exclues. Pourtant longtemps après, on y a vu quelques femmes émerger dans cette société !
Vint le monde Romain; la femme y était toujours sous la dépendance de son père puis de son mari. Aux débuts de cette communauté on relève qu’il n’était conservé que la fille aînée, les autres n’étaient jamais mentionnées ? de même que les garçons nés chétifs. Il est probable qu’ils étaient occis par le pater familias...
Les Filles ne recevaient même pas de prénom conservant celui du père. Plus tard ce droit de vie et de mort fut aboli. Et certaines femmes ont pu s’émanciper mais à quel prix !
Au moyen âge on a encore une histoire incomplète sur les femmes puisque tout ce qui s’y écrivait l’était par des hommes ! Les rôle des filles était le mariage, établi par les deux familles. Mariées le plus souvent à des hommes nettement plus âgés sans avoir voix au chapitre. Le père de la fille se faisait octroyer des biens. Dans le mariage la femme inférieure au mari lui doit obéissance, ne peut sortir sans sa permission. Les châtiments physiques sont acceptés, d’où violence conjugale et même mort si le mari la surprend en adultère ( où le fait croire parfois !! )
Il faut attendre le 16 ème siècle pour que cette tyrannie soit diminuée. La maternité est considérée comme un devoir d’où répudiation en cas de non enfantement...
Dans la noblesse la descendance peut atteindre 8 ou 10 naissances; dans les familles pauvres, paysans ou artisans, le travail en plus des occupations pour élever les enfants il y en a moins, vivants tout au moins ! Le nombre de femmes mortes en couches est très élevé. La césarienne pour récupérer l’enfant ne se pratique que sur la femme déjà morte...
Il y avait aussi des congrégations religieuses mais sans ordination et la confession est soumise à un prêtre homme...
Il faut reconnaître que l’égalité homme - femme a vu le jour et s’est amplifiée au faire et à mesure que la religion a eu moins d’emprise sur le Pays. Mais nous n’avons pas pris la tête de cette croisade, tant s’en faut.
Dés 1848 dans l’empire des Habsbourg le vote des Femmes a été acquis par décret Impérial. Mais ce n’est qu’en 1918 qu’il sera acquis officiellement en Allemagne.
Il faudra attendre le 8 mars 1944 pour cela soit acquis en France ( encore occupée ) et leur premier vote n’aura lieu qu’en 1945... Le rôle qu’elles avaient joué dans la résistance y aura été pour beaucoup. Ce droit de vote ne leur sera accordé en Suisse qu’à partir de 1971 ! Pendant ce temps on leur avait donné ce droit dans des états américains , en nouvelle Zélande, en Slovénie...
Enfin en 1911 eut lieu première journée internationale de la femme : outre le droit de voter, et d’exercer une fonction publique ( ! ) elles exigeaient le droit au travail; à la formation professionnelle; à la non discrimination sur le lieu de leur travail.
Et c’est en à partir de 1917 que la journée de la femme a été célébrée le 8 mars...
Qu’en est-il actuellement ? l’écart salarial du à la maternité comme prétexte perdure malheureusement. Dans la plupart des régions du monde, les femmes occupent le plus souvent des emplois dévalorisés et mal rémunérés; elles ont difficilement accès à l’éducation et à la formation professionnelle . Et c’est pourtant elles qui s’occupent dans la plus grande partie des tâches ménagères ( en plus de leur travail extérieur et non rémunérées ! ) Il serait bien trop long de citer les Femmes restées célèbres de l’antiquité à nos jours. Certaines le furent en grande partie pour leur beauté, mais la beauté pour la plupart s’accompagnait d’intelligence, de finesse, parfois de roublardise en menant les hommes par le bout du nez ! L’époque moderne permet plus facilement la réussite sociale, mais l’égalité totale n’est pas gagnée pour autant.
Dans les Pays laïques ou quand la religion ne prime pas encore sur le civique, Les femmes sont moins conditionnées dés la naissance à une pseudo évidente inégalité qui doit perdurer; et on leur applique des signes distinctifs pour ne pas qu’elles l’oublient avec le temps. Parler de racisme, il faudrait alors le faire dans les deux sens car il perdure lui aussi, avec au départ une différence visible;
il faut apprendre à ne pas en faire une primauté de couleur; de même que pour la religion ; de même que pour la condition à la naissance...
Et une boutade pour en terminer : Les Hommes ne peuvent pas se passer des Femmes pour se reproduire, les femmes le peuvent.Voir la parthénogenèse et la brebis Dolly !!!
Jan
Médaille d'or dédiée à toutes les Femmes...
3 ... La Femme vue par l’homme.
Pour parler des Femmes, il faut parler des hommes qui de tout temps ont voulu être dominateurs et cherchant le plus souvent dans la force physique leur pseudo supériorité.
Dés l’époque préhistorique quand l’humain s’est redressé pour mieux avancer dans la savane, puis se mettant à l’abri dans les cavernes, cette différence n’a joué que pour la chasse. Mais on l’a caricaturé avec ce dessin qu’on veut faire croire humoristique : le mâle tout puissant traînant sa compagne par les cheveux pour lui imposer sa loi !
Avec les cueillettes de baies, elles sont aussi pourvoyeuses de nourriture que les hommes. Mais machistes déjà, ils n’ont pas daigné la représenter dans tous leurs graffitis sur la pierre !
Dans la Grèce antique, société patriarcale bâtie sur des exclusions : les métèques, les esclaves ne sont pas citoyens et dans les clubs d’hommes, les femmes sont exclues. Pourtant longtemps après, on y a vu quelques femmes émerger dans cette société !
Vint le monde Romain; la femme y était toujours sous la dépendance de son père puis de son mari. Aux débuts de cette communauté on relève qu’il n’était conservé que la fille aînée, les autres n’étaient jamais mentionnées ? de même que les garçons nés chétifs. Il est probable qu’ils étaient occis par le pater familias...
Les Filles ne recevaient même pas de prénom conservant celui du père. Plus tard ce droit de vie et de mort fut aboli. Et certaines femmes ont pu s’émanciper mais à quel prix !
Au moyen âge on a encore une histoire incomplète sur les femmes puisque tout ce qui s’y écrivait l’était par des hommes ! Les rôle des filles était le mariage, établi par les deux familles. Mariées le plus souvent à des hommes nettement plus âgés sans avoir voix au chapitre. Le père de la fille se faisait octroyer des biens. Dans le mariage la femme inférieure au mari lui doit obéissance, ne peut sortir sans sa permission. Les châtiments physiques sont acceptés, d’où violence conjugale et même mort si le mari la surprend en adultère ( où le fait croire parfois !! )
Il faut attendre le 16 ème siècle pour que cette tyrannie soit diminuée. La maternité est considérée comme un devoir d’où répudiation en cas de non enfantement...
Dans la noblesse la descendance peut atteindre 8 ou 10 naissances; dans les familles pauvres, paysans ou artisans, le travail en plus des occupations pour élever les enfants il y en a moins, vivants tout au moins ! Le nombre de femmes mortes en couches est très élevé. La césarienne pour récupérer l’enfant ne se pratique que sur la femme déjà morte...
Il y avait aussi des congrégations religieuses mais sans ordination et la confession est soumise à un prêtre homme...
Il faut reconnaître que l’égalité homme - femme a vu le jour et s’est amplifiée au faire et à mesure que la religion a eu moins d’emprise sur le Pays. Mais nous n’avons pas pris la tête de cette croisade, tant s’en faut.
Dés 1848 dans l’empire des Habsbourg le vote des Femmes a été acquis par décret Impérial. Mais ce n’est qu’en 1918 qu’il sera acquis officiellement en Allemagne.
Il faudra attendre le 8 mars 1944 pour cela soit acquis en France ( encore occupée ) et leur premier vote n’aura lieu qu’en 1945... Le rôle qu’elles avaient joué dans la résistance y aura été pour beaucoup. Ce droit de vote ne leur sera accordé en Suisse qu’à partir de 1971 ! Pendant ce temps on leur avait donné ce droit dans des états américains , en nouvelle Zélande, en Slovénie...
Enfin en 1911 eut lieu première journée internationale de la femme : outre le droit de voter, et d’exercer une fonction publique ( ! ) elles exigeaient le droit au travail; à la formation professionnelle; à la non discrimination sur le lieu de leur travail.
Et c’est en à partir de 1917 que la journée de la femme a été célébrée le 8 mars...
Qu’en est-il actuellement ? l’écart salarial du à la maternité comme prétexte perdure malheureusement. Dans la plupart des régions du monde, les femmes occupent le plus souvent des emplois dévalorisés et mal rémunérés; elles ont difficilement accès à l’éducation et à la formation professionnelle . Et c’est pourtant elles qui s’occupent dans la plus grande partie des tâches ménagères ( en plus de leur travail extérieur et non rémunérées ! ) Il serait bien trop long de citer les Femmes restées célèbres de l’antiquité à nos jours. Certaines le furent en grande partie pour leur beauté, mais la beauté pour la plupart s’accompagnait d’intelligence, de finesse, parfois de roublardise en menant les hommes par le bout du nez ! L’époque moderne permet plus facilement la réussite sociale, mais l’égalité totale n’est pas gagnée pour autant.
Dans les Pays laïques ou quand la religion ne prime pas encore sur le civique, Les femmes sont moins conditionnées dés la naissance à une pseudo évidente inégalité qui doit perdurer; et on leur applique des signes distinctifs pour ne pas qu’elles l’oublient avec le temps. Parler de racisme, il faudrait alors le faire dans les deux sens car il perdure lui aussi, avec au départ une différence visible;
il faut apprendre à ne pas en faire une primauté de couleur; de même que pour la religion ; de même que pour la condition à la naissance...
Et une boutade pour en terminer : Les Hommes ne peuvent pas se passer des Femmes pour se reproduire, les femmes le peuvent.Voir la parthénogenèse et la brebis Dolly !!!
Jan