A cette époque, je roulais des mécaniques
Apprenti garagiste, j'avais les mains dans le cambouis
Petit con, j'en faisais souvent des caisses
Mon patron ne roulait pas au bio éthanol
Il était souvent au Café de la Place, pour le ravitaillement
Il consommait bien plus que de cinq litres au cent
Le pourri, il en avait dans la caisse, il tenait la route
La patronne a pété bien souvent, une durite
Après les disputes elle montait dans sa bagnole
En colère elle partait sur les chapeaux de roues
Laissant de la gomme en appuyant sur le champignon
J'étais tombé sous son charme comme sur ma première dauphine
Pas très grande, elle avait de la garde au sol
Elle avait le pot d'échappement près du gazon
Sexy toujours bien sapée toujours en jupe
Elle tournait du cul elle était monté sur roulements à billes
Une paire de nibards façon Lolo Ferrari
Deux jolis pare chocs, de bons airs bag
Un jour, j'avais la tête dans le moteur
Elle me dit < Ca te plairait de voir mon triangle >
En mettant sa main sur mon levier de vitesse
Pour moi se présenter une occasion en Or
Surpris quand même , au démarrage, je toussais
Je me suis pourquoi pas < Allez en voiture, Simone >
Allons y gaiement roule, ma poule
Je me fis le constat de cette situation
La patronne en avait encore sous le capot
Elle n'avait pas de retard l'allumage, la garce
Je lui ai décalaminer le pot d'échappement
Au préalable, je m'étais couvert j'avais débâché la capote
A la coquine, elle n'avait pas de jeu dans la culasse
Elle gueulait étant à son aise, elle montait dans les tours
Elle me disait souvent < Hé petit débraille, ça fume >
Il a fallu une paire de fois que je recharge les batteries
Elle tenait la route, la dame du Garage du Port
Parfois j'étais crevé à rouler sur les jantes
Chaude, elle ne crachait pas sur le piston
Le temps a passé, je l'ai revu derrière ses phares de deudeuche
Des lunettes larges comme un pare brise de camion
Mémère a maintenant, des kilomètres au compteur
Elle doit dépenser une fortune pour ses bougies sur son gâteau
Comme tout le monde, elle a du jeu dans les rotules
Le médecin lui impose, un contrôle technique tous les ans
Ou une révision tous les 5000, son carburateur est hélas encrassé
Elle m'a dit que son mari avait coulé une bielle
Malheureusement quand on picole de l'antigel
Il avait des doigts en Or mais seul, il s'est court-circuiter
Quand, je jette un coup d'œil dans le rétroviseur
Je me dis < Nous avons eu du pot de ne pas nous faire prendre >
Apprenti garagiste, j'avais les mains dans le cambouis
Petit con, j'en faisais souvent des caisses
Mon patron ne roulait pas au bio éthanol
Il était souvent au Café de la Place, pour le ravitaillement
Il consommait bien plus que de cinq litres au cent
Le pourri, il en avait dans la caisse, il tenait la route
La patronne a pété bien souvent, une durite
Après les disputes elle montait dans sa bagnole
En colère elle partait sur les chapeaux de roues
Laissant de la gomme en appuyant sur le champignon
J'étais tombé sous son charme comme sur ma première dauphine
Pas très grande, elle avait de la garde au sol
Elle avait le pot d'échappement près du gazon
Sexy toujours bien sapée toujours en jupe
Elle tournait du cul elle était monté sur roulements à billes
Une paire de nibards façon Lolo Ferrari
Deux jolis pare chocs, de bons airs bag
Un jour, j'avais la tête dans le moteur
Elle me dit < Ca te plairait de voir mon triangle >
En mettant sa main sur mon levier de vitesse
Pour moi se présenter une occasion en Or
Surpris quand même , au démarrage, je toussais
Je me suis pourquoi pas < Allez en voiture, Simone >
Allons y gaiement roule, ma poule
Je me fis le constat de cette situation
La patronne en avait encore sous le capot
Elle n'avait pas de retard l'allumage, la garce
Je lui ai décalaminer le pot d'échappement
Au préalable, je m'étais couvert j'avais débâché la capote
A la coquine, elle n'avait pas de jeu dans la culasse
Elle gueulait étant à son aise, elle montait dans les tours
Elle me disait souvent < Hé petit débraille, ça fume >
Il a fallu une paire de fois que je recharge les batteries
Elle tenait la route, la dame du Garage du Port
Parfois j'étais crevé à rouler sur les jantes
Chaude, elle ne crachait pas sur le piston
Le temps a passé, je l'ai revu derrière ses phares de deudeuche
Des lunettes larges comme un pare brise de camion
Mémère a maintenant, des kilomètres au compteur
Elle doit dépenser une fortune pour ses bougies sur son gâteau
Comme tout le monde, elle a du jeu dans les rotules
Le médecin lui impose, un contrôle technique tous les ans
Ou une révision tous les 5000, son carburateur est hélas encrassé
Elle m'a dit que son mari avait coulé une bielle
Malheureusement quand on picole de l'antigel
Il avait des doigts en Or mais seul, il s'est court-circuiter
Quand, je jette un coup d'œil dans le rétroviseur
Je me dis < Nous avons eu du pot de ne pas nous faire prendre >