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La douleur, m’a changer

#1
La douleur, m’a changer

Que l’or me parle, et qu’il me rependre
Pourquoi tu ne séduis plus mon cœur comme avant
Est-ce que mon fort chagrin qui te fait fondre ?
Au point de te périr, a jamais dans mes fonds
Aujourd’hui, tu n’as aucun pouvoir sur mon cœur tendre
Même avec ton brillant pouvoir, vieux tyran
Les cœurs changent, et les vents chassent les cendres.
Et l’amour que j’avais pour toi est mort, assassiné par la trahison


O fleur hier vous étiez tellement belle
Je me souviens du jour où je t’ai cueillie.
Je t’ai fait une place, là sous mes ails.
Et avec mon cœur tendre, je t’ai réchauffé.
Rien qu’au toucher, j’ai senti ton mal
Et a ta peur, je t’ai fait un nid
Mon sucre a vaincu ton sel.
Mais mon sel à moi coule à chaque nuit.
Pourquoi fleur, l’esprit rebelle
Terrible sont les armes que tu as choisie
Bien visé, tu as touché mes entrailles.
Mon foie tremble, quand je pense à ma fille.


14 ans, déjà, sans que je goûte, son miel
Et peu de chemin me reste dans la vie.
Ne hurle pas mon cœur, même s'il y a sur tes plaies, du sel.
La douleur, tu dois l’apprivoisé
Qu’il cesse en moi, ce terrible mal
Il me fait parler.
Non mon œil, non pas les larmes
Je veux finir ce soir cet écrit.


Dix moi, ce soir, et parle moi mon cœur
Dix moi qui t’a réveillé
Pourquoi tu as fait tout ce temps-là le mort
Ou bien, il se puise en toi l’amour de ma fille
N’ajoute pas s’il te plaît à ma douleur.
Hier seulement un merle, m’a quitté


Est-ce que tu as vaincu ta peur ?
Ou bien, tu as fait d’elle une amie
J’ai cru, que tu étais parmi les morts.
Et avec ceux qui m’ont quitté enterré
Et voilà, tu me dictes, je prends l’écriture
J’espère que tu ne vas pas me faire pleurer.


Souviens-toi bien mon cœur.
Autrefois, tu savais chanter.
À tes pieds, s’inclinent sur ton chemin les fleurs.
Et toutes ces danses, la nuit sous la pluie
Peut-être, il viendra le jour.
Où j’oublie mon mal, je souris.
Ou ceux que mon cœur adore
Avec eux, je serrai réuni.
Quand la cloche sonne de la mort
Peut-être ce jour-là, je souris.
« Le cœur »


Oui, je me souviens du bonheur.
Autrefois était ton allié
Hélas l’absence et la mort
Leurs douleurs, sur toi ont triomphé.
Le destin, tu sais, à des tours
Les rires d’hier, ne reviendrons jamais
Mais ce soir dix moi monsieur et sans pleur
Dix moi, est-ce que tu es guéri


Oui monsieur, je peux te comprendre.
Toi qui as tellement pleuré
Longue pour toi, était l’attente
Et ailleurs vit, ceux que tu as aimés
Puis la mort qui frappe à ta porte
Et elle prend le plus aimé.
Sois fort monsieur et prends note.
Contre la douleur de la mort, personne n’est vacciné.


je t'aime ma fille longue tu sais,est l'attente
je t'aime et a bientôt
 
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