J’ai découvert, au fond des bois,
Quelque chose, fait de joies,
Où, le bruit n’existe pas,
Et le silence règne, en roi.
C’est une immense clairière,
Entourée d’arbres fiers,
A la beauté triomphante,
Et à la verdure luxuriante.
Mes pieds humblement froissaient,
Un tapis d’aiguilles de pins séchées,
Que le vent avait déposées,
Avant de les abandonner.
Qu’elle était belle, ma clairière,
Si mystérieuse et irréelle,
Craignant qu’un aventurier,
Ne vienne me la détériorer.
Que sera-t-elle, dans vingt ans,
Ma clairière enchantée,
Où, j’ai cru, étant enfant,
Qu’il s’y cachait des fées.
Quelque chose, fait de joies,
Où, le bruit n’existe pas,
Et le silence règne, en roi.
C’est une immense clairière,
Entourée d’arbres fiers,
A la beauté triomphante,
Et à la verdure luxuriante.
Mes pieds humblement froissaient,
Un tapis d’aiguilles de pins séchées,
Que le vent avait déposées,
Avant de les abandonner.
Qu’elle était belle, ma clairière,
Si mystérieuse et irréelle,
Craignant qu’un aventurier,
Ne vienne me la détériorer.
Que sera-t-elle, dans vingt ans,
Ma clairière enchantée,
Où, j’ai cru, étant enfant,
Qu’il s’y cachait des fées.