J’ai toujours eu un brin de suspicion
Pour cette chaise berçante, donnant vue,
Aux blonds champs de blé et aux oiseaux
Où s’allongeait le regard de celui
Qui avait la chance d’y poser
Après un dur labeur quotidien
Toute la lassitude du corps
Et le fardeau de l’esprit tourmenté
Sous le rythme du balancement
La pensée secondait les rêves
Comme pour souffler les mots à l’histoire
Se déroulant sous les yeux du béni
Il y avait, sûrement, sur cette chaise
Un pouvoir dont on nous cachait l’existence
Par peur d’y perdre sa progéniture
Dans le grand espace de l’imaginaire
Pour cette chaise berçante, donnant vue,
Aux blonds champs de blé et aux oiseaux
Où s’allongeait le regard de celui
Qui avait la chance d’y poser
Après un dur labeur quotidien
Toute la lassitude du corps
Et le fardeau de l’esprit tourmenté
Sous le rythme du balancement
La pensée secondait les rêves
Comme pour souffler les mots à l’histoire
Se déroulant sous les yeux du béni
Il y avait, sûrement, sur cette chaise
Un pouvoir dont on nous cachait l’existence
Par peur d’y perdre sa progéniture
Dans le grand espace de l’imaginaire