La Bourgeoise
Grande Inquisitrice de la Beauté
Souvent sotte, toujours maniérée.
Sous ses airs de sainte-nitouche,
Se cache de belles formes, et quelle bouche !
Qu’elle la ferme ! On entend par là,
Qu’au lieu de débiter des atrocités,
Elle pourrait très bien se le couper,
Son sifflet qui dès lors, nous brise l’émoi.
Et moi, et moi ! Regardez mon visage !
Mes allures de princesse !
Aucune ride due à l’âge,
Je rie de la bassesse !
Quelle bourgeoise elle est !
Si quand bien même, elle pensât un matin.
Mais ses seules idées viennent dériver,
Vers le creux de ses hanches, ah la putain !
Souvent sotte, toujours maniérée.
Sous ses airs de sainte-nitouche,
Se cache de belles formes, et quelle bouche !
Qu’elle la ferme ! On entend par là,
Qu’au lieu de débiter des atrocités,
Elle pourrait très bien se le couper,
Son sifflet qui dès lors, nous brise l’émoi.
Et moi, et moi ! Regardez mon visage !
Mes allures de princesse !
Aucune ride due à l’âge,
Je rie de la bassesse !
Quelle bourgeoise elle est !
Si quand bien même, elle pensât un matin.
Mais ses seules idées viennent dériver,
Vers le creux de ses hanches, ah la putain !