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que je ne fusse éteinte
ô jour du lever
quand le matin
nous guettes
dans cette ivresse
nocturne
ou l'adage
de ton corps
me transperce
emmène moi
dans ce nuage
ou la douceur
me touche
d'un doigt
de fusain
comme au jour
dernier de nos envies
souffle divin
viendra nous caressé
dans notre couche
gouter cette sève
boire ton calice
dans le creux de tes reins
me fondre
au petit matin
belle jouvencelle
tu seras mienne
de ma tristesse j'en ressortirai
toujours grandi
même si les larmes me brules
même si mon coeur me fait mal
je souris au bonheur
qui m'acceuille dans ses bras
je souris car mon âme
est un flocon posé sur un nid
de douceur