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La boite à mot

toutsimple

Maître Poète
susurre moi encore tes envies
dans les senteurs de ton corps
sans bruit effleure ma peau
du bout des doigts
sens mes pores frissons
ma bouche envieuse
te suppliant un baiser
goutant mes envies
m'enivrant de ta sève
engorgé de désir
effleure mes sens
sens ma peau
apprivoise moi
dans le charme
d'un baiser




Ce que femme veut, dieu le veut!
Je m'exécute : en vous faisant un baiser...
 

toutsimple

Maître Poète
Les pieds dans l'eau" :
« Seul le pêcheur sait le goût exact du matin, le goût du pain et celui du café de l'aurore.
Il a, seul, ces privilèges exorbitants.
Né subtil, il n'en parle pas.
Il garde tout cela pour lui.
C'est un secret entre le poisson et lui, l'herbe et lui, l'eau et lui. »

Extrait de "les pieds dans l'eau" de René FALLET
Une belle réponse aux pieds...
 
quand les roses dansent
dans le lointain de mes songes
quand mes larmes deviennent
douleur et que mon coeur saigne
vol mon âme vole Aude-la de ma tristesse
vole mon âme ne revient plus dans les limbes
de mon désespoir court toujours
vers ce songe illusoire de croire
encore que tout est possible
qu'un jour ton coeur verra
briller l'étincelle tant rechercher
qu'un jour ton coeur sera
à nouveau aimer sans peur...


 
Dernière édition:
Coeur immortelle
Coeur fraternelle
Toi mon âme soeur que la vie
M'a enlevé je n'arrive pas à vivre sans toi
Mes jours deviennent torrent de larmes
Les années deviennent un enfer
Mon coeur immortelle dans les limbes
De ma torpeur dans cette terreur
Où je me cache mes larmes me brulent tant
J'aimerai mon amour immortelle revoir
Ton visage sentir ta peau entendre ton rire encore une fois
Mon coeur fraternelle ou es tu à présent
Me vois-tu du haut de la cime des nuages
Ou le ciel est si fragile si pur
Mon ange immortelle
Mon ange fraternelle
Je crève de toi
Je t'aime et tu manques à ma vie

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Voile bleu

Maître Poète
Coeur immortelle
Coeur fraternelle
Toi mon âme soeur que la vie
M'a enlevé je n'arrive pas à vivre sans toi
Mes jours deviennent torrent de larmes
Les années deviennent un enfer
Mon coeur immortelle dans les limbes
De ma torpeur dans cette terreur
Où je me cache mes larmes me brulent tant
J'aimerai mon amour immortelle revoir
Ton visage sentir ta peau entendre ton rire encore une fois
Mon coeur fraternelle ou es tu à présent
Me vois-tu du haut de la cime des nuages
Ou le ciel est si fragile si pur
Mon ange immortelle
Mon ange fraternelle
Je crève de toi
Je t'aime et tu manques à ma vie


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:/
une éternelle Blessure s'écoule en votre encre et s'en séparer soulage sûrement un peu, mais sangs séparés demeurent.
Comme votre peine est immense Lyseria, et je sais que vos vers qui en débordent pourtant tellement, n'en retracent qu'une infime partie;
Je vous adresse Tous mes encouragements, si insignifiants soient-ils!
 
:/
une éternelle Blessure s'écoule en votre encre et s'en séparer soulage sûrement un peu, mais sangs séparés demeurent.
Comme votre peine est immense Lyseria, et je sais que vos vers qui en débordent pourtant tellement, n'en retracent qu'une infime partie;
Je vous adresse Tous mes encouragements, si insignifiants soient-ils!
merci voile bleu écrire soulage un peu mais le manque lui persiste toujours
 
dans le fond de mon tiroir
j'ai retrouvé une photo de toi jauni
par le temps mais elle enlève
en rien ta beauté toi mon ange déchue
que la vie ma arracher
tant de souffrance loin de toi
le jour s'éveille dans la moiteur
de ton souvenir
les années passent mais ton souvenir demeure
dans mon coeur
dans la douleur de mes mots
dans cette souffrance accablante
que cette vie devient un enfer​
 
les hommes deviennent des loups
pour eux même ils ont oubliés d'aimer
oublié d'ouvrir leurs coeurs
ils sont fermés
un coeur fermer
une vie de labeur
et chante mon amour que dans le creux
de ta servitude tu sois
l'or de mes mains
dans mon destin​
 
je viens un peu dégueuler ma tristesse
quand les jours se font drames et que mes yeux me désarmes
que dans le silence ce manque de toi me torture
les jours passent dans cette souffrance immonde
mon coeur se meurt ma vie m'échappe
au ciel de tes yeux qui fut un jour mon soleil
je dégueule ma tristesse
je crache ma haine
Ô toi ma romance d'un jour
reviendras tu un jour
dans le temps ou fleuriront
encore nos sourires d'enfants
reviendras tu à l'orée du bois
aux chants des oiseaux
ou le ciel deviendra notre seul
univers accompagnant
notre envie ce désir
d'être ce joyaux
en tes yeux toi seul
me donnera cet amour
celui qui n'est plus...

 
seras tu cette raison
qui me mènera à toi
aux rivières de ton coeur
seras tu cette ombre
d'un siècle nouveau
au nouveau regard
de tes bras
tendresse d'un matin
regarder ce frisson
dans tes yeux
Ô toi qui me regarder tout
bas donne moi une raison
de me sentir vivante
en mon sein
viendra tu t'abreuvais
de la nourriture
de ma douceur