L’Ombre et la Cape
Une dame vêtue d'une cape noire surgit des orées,
Son regard semblait tellement vif et audacieux,
Malgré qu'elle puisse avoir un sourire délicieux,
Sous sa cape on pouvait voir son ceinturon doré.
Elle était coiffée d'un large chapeau pointu,
Noir orné d'araignées et de leurs toiles,
Accrochés sur les rebords et les voiles,
Son visage fut effrayant avec son nez pointu.
Au milieu d'une foret sombre, je l'ai rencontré,
Quand se fait sentir son ombre derrière moi,
Mon cœur bat si fort, je tremble jusqu'aux émois,
Sur mes pas, je ne pouvais plus me concentré.
D'un autre sentier vers moi venait une ombre,
Me frôle et part danser entres les bras de la dame,
D'un effleurement, elle vient lui volé son âme,
Sans bruit, elle se fond dans une profonde pénombre.
Lors de cet effroi, je cours vers la dame afin de l'embraser,
Sous l'étrange regard glacial de la sorcière maléfique,
Alors qu'autour d'elle, j'ose jeté sa propre potion magique,
Elle disparait comme si un phénomène été venu tout rasé.
Dans les lointaines clairières, se fait sentir l'odeur âcre de fumée,
Embaumant puis flottant à travers l'air piquant et glacial,
Au milieu de la clairière, brille un cercle nuptial,
De nulle part, une voix rauque murmura, "Que fais tu là, étranger" ?
Une dame vêtue d'une cape noire surgit des orées,
Son regard semblait tellement vif et audacieux,
Malgré qu'elle puisse avoir un sourire délicieux,
Sous sa cape on pouvait voir son ceinturon doré.
Elle était coiffée d'un large chapeau pointu,
Noir orné d'araignées et de leurs toiles,
Accrochés sur les rebords et les voiles,
Son visage fut effrayant avec son nez pointu.
Au milieu d'une foret sombre, je l'ai rencontré,
Quand se fait sentir son ombre derrière moi,
Mon cœur bat si fort, je tremble jusqu'aux émois,
Sur mes pas, je ne pouvais plus me concentré.
D'un autre sentier vers moi venait une ombre,
Me frôle et part danser entres les bras de la dame,
D'un effleurement, elle vient lui volé son âme,
Sans bruit, elle se fond dans une profonde pénombre.
Lors de cet effroi, je cours vers la dame afin de l'embraser,
Sous l'étrange regard glacial de la sorcière maléfique,
Alors qu'autour d'elle, j'ose jeté sa propre potion magique,
Elle disparait comme si un phénomène été venu tout rasé.
Dans les lointaines clairières, se fait sentir l'odeur âcre de fumée,
Embaumant puis flottant à travers l'air piquant et glacial,
Au milieu de la clairière, brille un cercle nuptial,
De nulle part, une voix rauque murmura, "Que fais tu là, étranger" ?