L’écœurite féminine
Dans cette quête de l’amour en aspiration
J’ai fais de mon âme une source d’inspiration
Envers la gente féminine douce contemplation
Prêt à devenir pour elle bunker protection
Mais femme sans cœur a préférée la reddition
Me laissant seul devant l’ennemie déception
Déchiqueter sur champ de bataille en dissection
Par lambeaux mon être victime d’amnésiques castrations
Vaincu, mon vain cœur eu l’atroce pendaison
De voir en son antre la décrépitude lacération
Vainqueur face aux vains culs qui s’offrent en désolation
Des femmes sans amour aux habitudes prostitutions
De ma rancœur s’aguiche ma crispation
Haut-le-cœur mes amours en répulsion
C’est moqueur que j’affiche mes crises passions
Troqueur d’amers atours pour seule consolation
Devenu arnaqueur par femmes sans émotions
Détenu solitaire par flemme d’admiration
Dévêtu, j’enrhume mes désirs par défection
Détritus, mon corps se parfume de dépravation
Traumatisme, cérébrale commotion
Paludisme, mortelle affliction
Vandalisme, pillage, destruction
Cataclysme, crève-cœur finition
J’ai troqué de mon cœur mes plus belles actions
J’ai perdu bien plus que l’amour imposition
Bien que monnaie courante cette destitution
C’est l’unique émotion dont je fais opposition
Mon disséqueur m’arrache les valvules
Ce n’est pas de gaieté de cœur que je capitule
D’un coup dans le ventre qui nous accule
Le contre coup circule dans les ventricules
Mis en sourdine, mes envies devenues muettes
L’indifférence interfère peu à peu mes oreillettes
De mon gosier noué se lace ma luette
Ma parole végète loin de ces lassantes pipelettes
J’aurai bien besoin de baume au cœur
En veine cave inférieure ou supérieure
Peu importe du moment que je demeure
Dans mon corps qui peu à peu se meurt
J’ai lustré sans relâche mon organe juvénile
Je ne savais pas qu’il serait un jour si sénile
Dans ce plaisir solitaire jugé si puérile
Il n’y a pas de remède à la solitude stérile
Je l’ai confié à tant de prétendue dulcinée
Bestiale, timide, frigide, toutes se sont inclinées
Devant ma continence alliée d'une jeune timidité
J’ai perdu plus que mon innocente virginité
Alors qu’elles étaient les bienvenues
J’ai goûté à toutes leurs déconvenues
Accusé de tous les orgasmes non-venus
C’est en averti frustré que je fus prévenu
Tant de conquêtes m’ont fais gicler
Depuis la footballeuse qui m’a taclé
Jusqu’à cette golfeuse trop musclée
Estropiant mes extra balles après un 18 trou bâclé
Aussi dans les mains d’une bouchère
Qui confondait mon cher avec ma chair
Bien que de valeur, cela m’a couté cher
Meurtri au plus profond de mes artères
D’une lévitation devenue leurre
Nulle besoin d’un pèse liqueur
Pour estimer ma pesanteur
C’est dire si lourd est mon cœur
À toutes ces demoiselles qui simulent
Perverses qui, de leur traitrise, nous inoculent
De donner coup de pied dans les testicules
Des garçons sans expérience qu’elles manipulent
Telle la mante religieuse pour vermine
Rejeter de moi ce qui m’abomine
D’enfin faire le deuil de ce qui m’assassine
À savoir cette latente écœurite féminine
Dans cette quête de l’amour en aspiration
J’ai fais de mon âme une source d’inspiration
Envers la gente féminine douce contemplation
Prêt à devenir pour elle bunker protection
Mais femme sans cœur a préférée la reddition
Me laissant seul devant l’ennemie déception
Déchiqueter sur champ de bataille en dissection
Par lambeaux mon être victime d’amnésiques castrations
Vaincu, mon vain cœur eu l’atroce pendaison
De voir en son antre la décrépitude lacération
Vainqueur face aux vains culs qui s’offrent en désolation
Des femmes sans amour aux habitudes prostitutions
De ma rancœur s’aguiche ma crispation
Haut-le-cœur mes amours en répulsion
C’est moqueur que j’affiche mes crises passions
Troqueur d’amers atours pour seule consolation
Devenu arnaqueur par femmes sans émotions
Détenu solitaire par flemme d’admiration
Dévêtu, j’enrhume mes désirs par défection
Détritus, mon corps se parfume de dépravation
Traumatisme, cérébrale commotion
Paludisme, mortelle affliction
Vandalisme, pillage, destruction
Cataclysme, crève-cœur finition
J’ai troqué de mon cœur mes plus belles actions
J’ai perdu bien plus que l’amour imposition
Bien que monnaie courante cette destitution
C’est l’unique émotion dont je fais opposition
Mon disséqueur m’arrache les valvules
Ce n’est pas de gaieté de cœur que je capitule
D’un coup dans le ventre qui nous accule
Le contre coup circule dans les ventricules
Mis en sourdine, mes envies devenues muettes
L’indifférence interfère peu à peu mes oreillettes
De mon gosier noué se lace ma luette
Ma parole végète loin de ces lassantes pipelettes
J’aurai bien besoin de baume au cœur
En veine cave inférieure ou supérieure
Peu importe du moment que je demeure
Dans mon corps qui peu à peu se meurt
J’ai lustré sans relâche mon organe juvénile
Je ne savais pas qu’il serait un jour si sénile
Dans ce plaisir solitaire jugé si puérile
Il n’y a pas de remède à la solitude stérile
Je l’ai confié à tant de prétendue dulcinée
Bestiale, timide, frigide, toutes se sont inclinées
Devant ma continence alliée d'une jeune timidité
J’ai perdu plus que mon innocente virginité
Alors qu’elles étaient les bienvenues
J’ai goûté à toutes leurs déconvenues
Accusé de tous les orgasmes non-venus
C’est en averti frustré que je fus prévenu
Tant de conquêtes m’ont fais gicler
Depuis la footballeuse qui m’a taclé
Jusqu’à cette golfeuse trop musclée
Estropiant mes extra balles après un 18 trou bâclé
Aussi dans les mains d’une bouchère
Qui confondait mon cher avec ma chair
Bien que de valeur, cela m’a couté cher
Meurtri au plus profond de mes artères
D’une lévitation devenue leurre
Nulle besoin d’un pèse liqueur
Pour estimer ma pesanteur
C’est dire si lourd est mon cœur
À toutes ces demoiselles qui simulent
Perverses qui, de leur traitrise, nous inoculent
De donner coup de pied dans les testicules
Des garçons sans expérience qu’elles manipulent
Telle la mante religieuse pour vermine
Rejeter de moi ce qui m’abomine
D’enfin faire le deuil de ce qui m’assassine
À savoir cette latente écœurite féminine
Dédié à toutes celles qui un jour transforment l’homme en omelette