L’apogée…
J’ai quitté la Terre pour des Cieux auréolés d’étoiles,
Juste en fermant les reflets de mon âme torturée.
Semblable à l’araignée-loup tissant sa soyeuse toile,
Je sombre dans ma voûte imaginaire architecturée.
J’ai quitté mon froid manteau de Chaire talée,
À la seule volonté de ma pensée vagabonde,
Telle la sphère éprise d’une latitude zélée,
…Une appelée de la félicité vers qui j’abonde.
Je me réincarne en une vaporeuse nuée blanche,
Un doux murmure dans les échos de mes silences,
Le Temps est alors chimère dépourvu de branches,
Je caresse enfin l’essence même de la quintessence.
J’ai quitté la Terre portée par les ailes de la quiétude,
Vers l’intérieure Paix aux attraits de salvatrice légèreté.
Vibre en mon cœur l’ode symphonique de la béatitude.
Au tréfonds de mes entrailles je souris à ma liberté.
J’ai quitté la Terre pour des Cieux auréolés d’étoiles,
Juste en fermant les reflets de mon âme torturée.
Semblable à l’araignée-loup tissant sa soyeuse toile,
Je sombre dans ma voûte imaginaire architecturée.
J’ai quitté mon froid manteau de Chaire talée,
À la seule volonté de ma pensée vagabonde,
Telle la sphère éprise d’une latitude zélée,
…Une appelée de la félicité vers qui j’abonde.
Je me réincarne en une vaporeuse nuée blanche,
Un doux murmure dans les échos de mes silences,
Le Temps est alors chimère dépourvu de branches,
Je caresse enfin l’essence même de la quintessence.
J’ai quitté la Terre portée par les ailes de la quiétude,
Vers l’intérieure Paix aux attraits de salvatrice légèreté.
Vibre en mon cœur l’ode symphonique de la béatitude.
Au tréfonds de mes entrailles je souris à ma liberté.