Mes amis il est temps pour nous
De lever nos verres, tchin-tchin
Faire corps avec ce doux liquide
La transcendance vient en nous
Le carburant dans notre sac
On avance tant bien que mal
En s’engouffrant dans cette nuit
Sans se soucier de l’avenir
Dans les rues, nos gestes divaguent
Ça tangue, y a comme des vagues
Pas grave, notre bateau vogue
Vers une destination folle
Peut-être pas vers un soleil
Mais vers une nuit enflammée
Saoulards de paris malfamés
On se joint à vous, assoiffés
Peu importe là où on va, il semble
Sans importance, c’est ensemble
Qu’au détour d’une ruelle, tard
On cherche sa route, au hasard
Et puis…
La nuit a déversée ses larmes
Mêlant nos plaintes et coups de joie
L’ivresse nous assomme dur
C’est agréable, ça rassure
Tels des arbres nous tomberons
Sous la hache du bûcheron
Ainsi nous nous endormons ivres
Les jambes lourdes de fatigue
Au matin le brouillard se lève
Sur nos yeux rougis par les bières
Peu de souvenirs du passé
Incertain du chemin tracé
Essayons de nous rappeler
L’aventure fait ses dégâts
Non arrête j’ai pas fais ça
J’te jure t’étais trop bourré
Tu as renversé des poubelles
Sur les quais, t’as vidé ton sac
Tout en y déposant ta gerbe
Ton estomac en cul de sac
Le voyage s’arrête là
La gueule de bois nous rattrape
Et le mal de tête frappe
Nous nous séparons, à plus tard
De lever nos verres, tchin-tchin
Faire corps avec ce doux liquide
La transcendance vient en nous
Le carburant dans notre sac
On avance tant bien que mal
En s’engouffrant dans cette nuit
Sans se soucier de l’avenir
Dans les rues, nos gestes divaguent
Ça tangue, y a comme des vagues
Pas grave, notre bateau vogue
Vers une destination folle
Peut-être pas vers un soleil
Mais vers une nuit enflammée
Saoulards de paris malfamés
On se joint à vous, assoiffés
Peu importe là où on va, il semble
Sans importance, c’est ensemble
Qu’au détour d’une ruelle, tard
On cherche sa route, au hasard
Et puis…
La nuit a déversée ses larmes
Mêlant nos plaintes et coups de joie
L’ivresse nous assomme dur
C’est agréable, ça rassure
Tels des arbres nous tomberons
Sous la hache du bûcheron
Ainsi nous nous endormons ivres
Les jambes lourdes de fatigue
Au matin le brouillard se lève
Sur nos yeux rougis par les bières
Peu de souvenirs du passé
Incertain du chemin tracé
Essayons de nous rappeler
L’aventure fait ses dégâts
Non arrête j’ai pas fais ça
J’te jure t’étais trop bourré
Tu as renversé des poubelles
Sur les quais, t’as vidé ton sac
Tout en y déposant ta gerbe
Ton estomac en cul de sac
Le voyage s’arrête là
La gueule de bois nous rattrape
Et le mal de tête frappe
Nous nous séparons, à plus tard