Juste un mot
Juste un mot
Suffira au propos
Juste une phrase
M’emplira d’emphase
M’échappe un langage
D’une rivière qui plonge vers la plage
La conscience est éphémère
Et coule doucement vers la mer.
Juste une idée
Que je regarde avant d’écrire
Duplicité du savant voulant lire
Mes lèvres brûlent des pensées
Je pose mon dos sur son tronc
Epouse le fond de ses émotions
Buvant le sang de la planète
Nourris des cadavres de mes ancêtres.
La conscience me trompe
Les philosophes entrent dans l’ombre.
Loïc ROUSSELOT
Juste un mot
Suffira au propos
Juste une phrase
M’emplira d’emphase
M’échappe un langage
D’une rivière qui plonge vers la plage
La conscience est éphémère
Et coule doucement vers la mer.
Juste une idée
Que je regarde avant d’écrire
Duplicité du savant voulant lire
Mes lèvres brûlent des pensées
Je pose mon dos sur son tronc
Epouse le fond de ses émotions
Buvant le sang de la planète
Nourris des cadavres de mes ancêtres.
La conscience me trompe
Les philosophes entrent dans l’ombre.
Loïc ROUSSELOT
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