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Résultat du concours "Journée de la femme " 10 au 20 Mars

Statut
N'est pas ouverte pour d'autres réponses.

lyseron

Je reviens de loin, mais je ne vous oublie pas....
Membre du personnel
#1



Concours du 10 au 20 Mars 2016
(envoi de vos écrits sur ma MP svp )

Résultat du concours le 22 Mars 2016

*

Thème : " Journée de la femme "

" Après 1945, le 8 mars, la journée de la femme devint internationale, marqua une certaine évolution pour elle ... Qu'en pensez-vous mesdames ? Quelles sont vos revendications personnelles ?
Les messieurs sont invités eux aussi à donner leur avis sur " cette symphonie inachevée " quant aux droits des femmes ..."


*
Contraintes :

Ecrire sous forme de prose
Attention ; à l'orthographe, aux accords...
Ecrits : non signés


*

Vos écrits seront notés avec la plus grande impartialité et selon les consignes ci-dessus
Chef du jury : Lys

*

A vos plumes revendicatrices !

*

Résultat du concours

*

Médaille d'or .... Janu .... 8,95/10

Médaille d'Argent .... Melle De Bauvarie .... 8,31/10

Médaille de Bronze .... Zuc... 8,29/10

*
Bravo !
*


Participant(e)s

*

Luron1er et Lilasys.....6,50/10

Je trouve cette prose hors-sujet, elle ne parle pas des droits,
de revendications, d'évolution.
Ce texte est davantage de l'ordre de scènes de ménage...
Je note tout de même une certaine liberté pour la femme
pour ce qui est de s'exprimer, accepter ou refuser...
Pour un sujet sérieux, je n'attendais pas autant d' humour »...
Écrit empli d'humour, mais évitez d’employer l'auxiliaire être
"c'est....c'est....c’est" cela alourdi la lecture
Beaucoup d'humour dans ce pastiche femme-homme
mais il ne traduit pas les droits de la femme acquis ou à venir.
Vous êtes hors sujet
Quel dommage que votre prose excellente
soit malgré son bel humour acide, un hors sujet.

1...Une femme, un homme en humour…

Je vais vous parler en femme

Vraiment l'Amour, c'est ce qui conduit le monde, beaucoup de gens ne savent pas ce que c'est, et cependant depuis que la terre est ronde, c'est le même fourbi et cela ne changera jamais. Comme la musique cela commence par des gammes et puis l'on fait de petites variations, bien moi ce soir je vais vous parler en femme et vous avouer en Amour ce qui est bon.

D'abord quand un homme vous dit : on va s'aimer toute la vie, ça c'est du chichi.
Notre Amour est sans nuage, je t'aime chaque jour davantage, ça c'est du battage.
Signe un bail de trois, six, neuf, je possède un cœur tout neuf, ça c'est du bluff.
Mais s'il dit gentiment, je gagne beaucoup d'argent, ce que tu veux, je te l'offrirais,voila d' l'amour et du vrai.


Depuis quelque temps ce n'est plus la même chose, on ne fait plus de phrases, cela prend trop de temps. C' n’est plus l’époque d'offrir des bouquets de roses, il n 'y a plus de chichi, on va au but vivement. Dans le fond pourquoi faire la dégoûtée et dire non je ne veux pas. Pourquoi sans cesse faire la mijaurée, puisque l'on sait comment cela finira ?

Lorsque c'est le calme plat, que l'on s'aime à la papa, ça c'est raplapla. Quand on parle de la nature, qu'on fait de la littérature, ça c'est de la piqûre. Que l'on vous parle en tremblant, imaginer un enlèvement, ça c'est du roman. Mais tomber sur un gaillard qui vous flanque au plumard sans demander si cela vous plait, voila d' l'Amour et du vrai.

Tenez mon mari est un homme adorable. Il est gentil, je l'aime avec passion. Le soir je l'engueule quand nous passons à table, car en Amour il me faut des émotions.
Quand il me dit, viens vite que je t'embrasse, je tourne le dos et ne lui réponds pas, Je fais la tête, je l'énerve, je l'agace jusqu'à ce qu'il me dise : je mets les pieds dans le plat.


Alors quand il est à bout et puis qu'il me roue de coups, ça c'est fou, c'est fou. Quand il me fiche parterre, me met le pied au derrière, ça c'est pépère. Je lui dis tais toi tu me tues, tu m'arraches les poils du.....des yeux, ça c'est délicieux.
Alors je lui saute au cou et je tire les verrous. On se raccommode après, en voila d' l'Amour et du vrai.


Jactons en homme.

Assurément, l'humour est ce qui conduit ma ronde, beaucoup de gens en bave, ce n'est pas un secret et pourtant j’en parle, car me taire m’inonde. Dans un même gourbi, j’arrangerai sans frais. C’est ma physique et pour cela j’amalgame. C’est cela qui me fait de petites vibrations. Bien moi, ce jour, je vais vous parler des dames et avouer en humour ce qui est mon don.

D'abord quand une femme vous dit : J ’vais t’animer à l’envie, c’ n’est pas la vie. Mon humour ici surnage, j'anime chaque nuit ton vieil âge, c’est du bavardage. Si je baille trois, six ou neuf fois, je dépossède ma sœur d’un œuf, c’est tout neuf. Mais s' elle médit simplement, j’y gagne beaucoup de temps. Ce que je peux, je le proposerais, voici mon humour pas trop frais.

Depuis quelques temps, j’épine un peu la rose. Je fais des périphrases pour gagner quelques instants et plus j’évoque de frire des bouquets bien rose. Ils deviennent riquiqui quand s’en va l’obus de ce ricanement, forment un rond que je peux enfin goûter pour dire : Oui, mais j’ n’ peux pas. Pourtant je caresse pour taire ma mi-journée, personne ne sait comment elle finira.

Lorsque je me calme, le plat que j'aime, c’est la barbe à papa, bien, pour le gala. Quand râle la plus mature, c’ n’est pas littérature, C’ n’est pas très pur. Que je vous parle en flamand, imager l’évènement comme un bon roman. Mais sombrer sur un gaillard d’avant, c’est ma planque de flemmard. Pour quémander ce qui me plait, voici mon humour pas trop frais.

Tenez, la Marie est une femme confortable, elle est tranquille et je l'anime avec affection, chaque nuit, je l 'envole et remplis son cartable c Car en humour, il lui faut de la passion. Quand elle me fuit, j’ lui dit : Viens vite que je t'enlace, je détourne ses mots que je ne ponds pas. Je hais la fête mais dénerve enfin sa face jusqu'à ce qu'elle médise quand je mets mes pieds dans son plat.

Alors quand j’arrive au bout, j’ peux enfin boire un coup, j’ m’en fous, j’ m’en fous. Là, j’ m’en fiche pour me taire car mes pieds de vers Sont bien plus pépère. Elle me dit : Mais toi, tu sues et m’agaces avec tes poils de vieux, C’est malicieux. Dés lors, je lui monte des coups, en satire, je lui joue du biniou, avec elle, je m’accommode si près, que voici mon humour pas trop frais.


********

Lyseria......7,68/10

Un beau texte sur les « discriminations» sexuelles et ethniques.
Beaucoup de questions qui portent le lecteur à la réflexion.
Revendications dans des cris de souffrance,
mais la lecture devient lassante vu la forme employée,
il aurait été plus judicieux d'écrire de manière continue "
Je ne sais pourquoi l'homme est devenu fou!
Dans un cercle de haine l'orgueil devient pouvoir..." etc etc
et ainsi éviter les hachages
Un texte qui aborde la différence de sexe ,
de couleur de peau, de religion..
vous développez bien mais il me manque beaucoup de choses,
je reste sur ma faim
D' autres droits essentiels ne sont pas développés...
vote, avortement, instruction, etc..votre prose pouvait s'étoffer
A travers ces interrogations tant de souffrances de femmes !
Il se dégage de votre poème prosaïque une force incroyable,
celle de se faire entendre au delà de toutes frontières...
J'ai beaucoup aimé et en suis toute émue...

2 ... Est-ce un tort d'être née femme ?

Je ne sais pourquoi
L'homme est devenu fou!
Dans un cercle de haine
L'orgueil devient pouvoir,
L'histoire nous raconte
Tant d'atrocités.
Est-ce un tort d'être
Née couleur ébène?
Est ce un tort d'être née
Sous un voile?
La peur, de la différence,
Devient crime
Devient abomination,
Sommes nous martyres ?
D'être nées,
Est-ce un outrage?
Tant de haine
Tant de douleur en moi,
Pourquoi?
Regarder au-delà
De ma différence
Pourquoi?
Tant de dégoût
Je ne suis pas si différente
Dois-je mourir victime,
Dans ce couloir
D'indifférence?
Est-ce un tort d'être
Née couleur ébène?
Est ce un tort d'être née
Sous un voile?
Suis-je si misérable
A vos yeux ?
Dois-je me déposséder
De qui je suis!
Pour vous plaire?
Est-ce ma force
Ou ma croix?
Est-ce un tort d'être
Née couleur ébène?
Est ce un tort d'être née
Sous un voile?
Malgré votre haine
Vos faux-semblants
Mon cœur lui reste pur,
Donnant de l'amour
A chaque coin d'une rue,
Où la misère se fait
Ennemie du pauvre
Ennemie de la voie
Du juste !
Je suis et resterai
Qui je suis,
Levant ma main haut
Vers le ciel
Criant l'injustice,
Je mourrai
Pour mes convictions!
Mon âme meurtrie
Mes yeux en sanglots
Mes mains déchirées
Par votre déni,
Est-ce un tort d'être
Née couleur ébène?
Est ce un tort d'être née
Sous un voile?
Je suis amour ,
Je suis le vent,
Sur vos cheveux
Ce souffle court,
Je suis vous
Ne me voyez
Pas comme
Une erreur!
Je ne suis qu'une enfant
Qui veux vivre libre!
Sans oppressions
Des sentiments,
Des blessures,
Ne me voyez
Pas comme
Une erreur!
Est-ce un tort d'être
Née couleur ébène?
Est ce un tort d'être née
Sous un voile?
Je vis comme une recluse
Dans mon château de diamant,
Mon âme assassinée
Sous vos regards fuyants !
Dans mon château de verre
Ou ma vie ne devient qu'un cimetière,
Larmoyant détruisant ma foi
Ma liberté!
Dans des mains assassines.
Tant de douleur en mon cœur
Tant de larmes!
Est-ce un tort d'être
Née couleur ébène...
Est-ce un tort d'être née
Sous un voile...
Je ne suis qu'une enfant
Ne détruisez pas mon innocence...


********

Janu......8,95/10......Médaille d'Or


Une prose qui parle de la condition de la femme au fil des siècles.
Il met en lumière les progrès et souligne les zones d'ombre
sur les droits de celles qu'on nomme encore le « sexe faible »
Respect des consignes.Belle prose.
Un véritable article de presse qui aurait pu paraitre
à la une des journaux du 8 mars! Une savante analyse
J'ai beaucoup aimé ce cours magistral..sur l'histoire de la Femme,
Ses non -droits sont bien mis en exergue.
Votre écrit est une ouverture vers son avenir ,
Une présentation anti- thèse de ce que nous lui connaissons ...
il suffit de faire les déductions. Bravo !
Votre recherche est des plus évidente, c'est aussi cela la poésie.
Bravo ! pour cette excellente prose mettant en exergue les droits
des femmes comme ils devraient être appliqués.
Quelle aisance dans l'écriture, un vrai talent !
ce que l'on ne peut pas manquer d'apprécier.


3 ... La Femme vue par l’homme.

Pour parler des Femmes, il faut parler des hommes qui de tout temps ont voulu être dominateurs et cherchant le plus souvent dans la force physique leur pseudo supériorité.
Dés l’époque préhistorique quand l’humain s’est redressé pour mieux avancer dans la savane, puis se mettant à l’abri dans les cavernes, cette différence n’a joué que pour la chasse. Mais on l’a caricaturé avec ce dessin qu’on veut faire croire humoristique : le mâle tout puissant traînant sa compagne par les cheveux pour lui imposer sa loi !
Avec les cueillettes de baies, elles sont aussi pourvoyeuses de nourriture que les hommes. Mais machistes déjà, ils n’ont pas daigné la représenter dans tous leurs graffitis sur la pierre !
Dans la Grèce antique, société patriarcale bâtie sur des exclusions : les métèques, les esclaves ne sont pas citoyens et dans les clubs d’hommes, les femmes sont exclues. Pourtant longtemps après, on y a vu quelques femmes émerger dans cette société !
Vint le monde Romain; la femme y était toujours sous la dépendance de son père puis de son mari. Aux débuts de cette communauté on relève qu’il n’était conservé que la fille aînée, les autres n’étaient jamais mentionnées ? de même que les garçons nés chétifs. Il est probable qu’ils étaient occis par le pater familias...
Les Filles ne recevaient même pas de prénom conservant celui du père. Plus tard ce droit de vie et de mort fut aboli. Et certaines femmes ont pu s’émanciper mais à quel prix !
Au moyen âge on a encore une histoire incomplète sur les femmes puisque tout ce qui s’y écrivait l’était par des hommes ! Les rôle des filles était le mariage, établi par les deux familles. Mariées le plus souvent à des hommes nettement plus âgés sans avoir voix au chapitre. Le père de la fille se faisait octroyer des biens. Dans le mariage la femme inférieure au mari lui doit obéissance, ne peut sortir sans sa permission. Les châtiments physiques sont acceptés, d’où violence conjugale et même mort si le mari la surprend en adultère ( où le fait croire parfois !! )
Il faut attendre le 16 ème siècle pour que cette tyrannie soit diminuée. La maternité est considérée comme un devoir d’où répudiation en cas de non enfantement...
Dans la noblesse la descendance peut atteindre 8 ou 10 naissances; dans les familles pauvres, paysans ou artisans, le travail en plus des occupations pour élever les enfants il y en a moins, vivants tout au moins ! Le nombre de femmes mortes en couches est très élevé. La césarienne pour récupérer l’enfant ne se pratique que sur la femme déjà morte...
Il y avait aussi des congrégations religieuses mais sans ordination et la confession est soumise à un prêtre homme...
Il faut reconnaître que l’égalité homme - femme a vu le jour et s’est amplifiée au faire et à mesure que la religion a eu moins d’emprise sur le Pays. Mais nous n’avons pas pris la tête de cette croisade, tant s’en faut.
Dés 1848 dans l’empire des Habsbourg le vote des Femmes a été acquis par décret Impérial. Mais ce n’est qu’en 1918 qu’il sera acquis officiellement en Allemagne.
Il faudra attendre le 8 mars 1944 pour cela soit acquis en France ( encore occupée ) et leur premier vote n’aura lieu qu’en 1945... Le rôle qu’elles avaient joué dans la résistance y aura été pour beaucoup. Ce droit de vote ne leur sera accordé en Suisse qu’à partir de 1971 ! Pendant ce temps on leur avait donné ce droit dans des états américains , en nouvelle Zélande, en Slovénie...
Enfin en 1911 eut lieu première journée internationale de la femme : outre le droit de voter, et d’exercer une fonction publique ( ! ) elles exigeaient le droit au travail; à la formation professionnelle; à la non discrimination sur le lieu de leur travail.
Et c’est en à partir de 1917 que la journée de la femme a été célébrée le 8 mars...
Qu’en est-il actuellement ? l’écart salarial du à la maternité comme prétexte perdure malheureusement. Dans la plupart des régions du monde, les femmes occupent le plus souvent des emplois dévalorisés et mal rémunérés; elles ont difficilement accès à l’éducation et à la formation professionnelle . Et c’est pourtant elles qui s’occupent dans la plus grande partie des tâches ménagères ( en plus de leur travail extérieur et non rémunérées ! ) Il serait bien trop long de citer les Femmes restées célèbres de l’antiquité à nos jours. Certaines le furent en grande partie pour leur beauté, mais la beauté pour la plupart s’accompagnait d’intelligence, de finesse, parfois de roublardise en menant les hommes par le bout du nez ! L’époque moderne permet plus facilement la réussite sociale, mais l’égalité totale n’est pas gagnée pour autant.
Dans les Pays laïques ou quand la religion ne prime pas encore sur le civique, Les femmes sont moins conditionnées dés la naissance à une pseudo évidente inégalité qui doit perdurer; et on leur applique des signes distinctifs pour ne pas qu’elles l’oublient avec le temps. Parler de racisme, il faudrait alors le faire dans les deux sens car il perdure lui aussi, avec au départ une différence visible;
il faut apprendre à ne pas en faire une primauté de couleur; de même que pour la religion ; de même que pour la condition à la naissance...
Et une boutade pour en terminer : Les Hommes ne peuvent pas se passer des Femmes pour se reproduire, les femmes le peuvent.Voir la parthénogenèse et la brebis Dolly !!!


********

melleDeBauvarie....8,31/10..... Médaille d'Argent

Magnifique éloge faite aux femmes.
La prose est courte mais tout est dit :

on sent la femme aimée, valorisée, et encouragée à se libérer
des entraves qu'on lui dresse sur son chemin.
Un bel hommage dédié à la femme
L'essentiel est déclamé voir clamé et joliment..
La lecture est comblée tant sur le fond que la forme.
Un beau moment en votre compagnie
dans style époustouflant. Bravo !
Les droits des femmes énoncés clairement tout en douceur.
Oui derrière chaque décision de l'homme de pouvoir
se cache l'avis d'une femme
et fait que la petite histoire érige la grande histoire...

4 ... Ode à la femme…

Depuis que le Monde est à l’âge de l’Homme,
Il n’est d’adage plus indéniable que celui qui conte,
« Que derrière chaque Homme,
Aussi grand soit-il se cache une femme ».
Femme Courage sur les sentiers de la guerre.
Femme Chrysalide,
Ton passé aussi éprouvant soit-il t’a fait Papillon !!
Prends ton envol, Femme !
Et libère-toi de tes entraves,
Il n’est de chaînes plus robustes que celles dont on endure le poids.
Martèle ce monde à coups d’Amour et de sagesse.
Soit prompte à arborer ta couronne de roi,
Et touche ce monde par ta vénusté et ta dévotion.
Femme Papillon, tu puises ta force dans ton histoire,
Car il en ressort que tout comme le roseau,
Tu ploies à toucher sol, sans point briser ta tige,
Puis fuse vers le soleil, plus haut ! Toujours plus haut !
Oh Femme… je suis en état de grâce, devant votre aventure.


********

5 ) Cristou .....5,75/10

Une "prose" qui met en évidence que la liberté,
ne va pas forcément avec responsabilité...
La femme est encore trop prise pour un « jouet, un passe-temps »
mais voilà, ce n'est pas des poupées
qu'elles enfantent et doivent élever seules....
Dommage que cette "prose" ne comporte pas de revendications
plus directes » sur la condition de la femme au 21ème siècle »
Triste histoire ! Heureusement que les hommes
ne sont pas tous de cette espèce!
complétement hors sujet cet amour de jeunesse. Dommage !
Un très bel écrit en vers et non en prose
où prime le regret...hélas hors sujet. Dommage !


5 ... Love is in the singular

Qui n’a jamais vécu son premier coup de foudre? Il se passe généralement entre les 13 et 14 ans.
Cette amour de jeunesse dont l’on oublie jamais le visage, ni le nom innocent et plein de boutons.
Entre timides flirts et caresses, on se jure fidélité et que rien ne peut nous arriver a travers le temps.
Forts et différents rien autour n’a d’importance, que vivre et respirer ce premier amour grandissant.


Sortir avec la première élève du collège, amoureuse d’un délinquant, et bon vivant, se suffisant,
À ses yeux évoluant contexte éducatif séduisant, l’amour n’est il pas pour autant plus excitant?
Plus les années avancent et ne se ressemblent, le lycée s’annonce vers nos 16 ou 18 ans.
Chacun de leur coté, et leurs projets commencent à les séparer, dans un premier temps.


Sexe et alcool en boites, la suite logique des choses, il vagabonde, s’éloigne de sa présence.
Elle poursuit ses études, ignorante, lui fait confiance parmi ses nombreuses alertes et absences.
Il se drogue et s’éloigne de la réalité, s’excite à tous sujets, s’exhibe devant toutes ses chances.
De ses vœux s’éloigne d’une femme envoûtante qui s’active, il se livre malgré a une dernière danse.


Durant ces années, il s’adonne aux plaisirs et voluptés, s’abandonne environ les 20, 22 ans.
S’ordonne entre liberté et conquêtes, se livre et s’abonne aux désirs interdits insuffisants,
En abondance, en oublie la raison de leur amour et de tout évidence, la laissant en suspens.
Elle avance, ses études ne la laissent indifférente, ne fait que prétendre, et ne peut que se rendre,


A l’évidence, doit s’avouer vaincue, elle a perdu d’avance, il s’exprime libre dans son silence.
Il se suffit a lui-même, l’ignore et passe à autre chose comme s’il existe autre que leur connaissance.
Depuis ces années, ne sut comment l’attendre, lui son amour d’enfance entre ses 13, voir 26 ans.
Son espoir s’amenuisait chaque jour passé. Leurs avenirs étaient compromis face à l’incohérence.


Elle travaillait d’ arrache pied et espérait encore, lui continuait a s’amuser sans plus de sa présence…
Il avait perdu pied et avait fini par l’oublier, la petite amie qu’il aimait tant, celle de son enfance.
Elle s’est décidée à se marier enfin et un enfant en bas âge, continue sa vie en tout indépendance.
Lui poursuivit son chemin comme il a commencé, dans la déchéance et a fini par faire la manche…


********


Zuc.....8,29/10 ...Médaille de Bronze

Cette prose dans le respect des consignes
fait un état des lieux sur le rôle de la femme à travers civilisations et métiers.
Soumise, libérée mais femmes dans toute leur splendeur...
j'ai aimé cette critique constructive.
J'ai apprécié la conclusion
Belle rétrospection de ce que la femme
avait c'est à dire pas grand chose ou rien ...
Le thème est respecté, écrit de façon intelligente,
me suis laissée emballer par votre texte clair et précis.
Bravo ! à vous
Une prose qui se veut témoin de l'oppression
de la femme à travers les âges,
se concluant par la rébellion de celle-ci, clamant sa liberté.
Un style très percutant, j'ai bien aimé ce ton...

6 ... Femme de….

Au temps des préhistoires femme de sauvage n'est qu'une sauvage, une bête.
Femme d'homme des cavernes étais-tu déjà ménagère ? Te mettais-tu à genoux pour passer la serpillière ?

Femme de berger, femme de militaire toujours marchant derrière, marchant derrière.

Femme de l'antiquité ton statut de pierre, ton destin de marbre,
déesse, princesse était-il à la hauteur de tes statues ?

Femme d'esclave, femme de prisonnier, quand l'homme aura brisé ses chaînes,
prisonnière tu resteras femme d'esclave

Femme de bandit ou femme de génie
à tous ces grands noms se cache une femme, une muse, un bon ou un mauvais génie.

Femme de roi ou femme de bourgeois,
coquette ou courtisane, diplômée officielle, tu n'es là que pour faire briller ces rabat- joie.

Femme de la république, femme de la révolution,
femme de la liberté tu n'es que le symbole

Femme d'ouvrier, femme de paysan
sur la machine derrière la charrue toujours tu courbes l'échine,
ouvrière, femme au foyer, femme de misère

Fille de joie, femme des rues, ton bonheur inonde ça se voit
ce serait un crime de ne pas le partager femme de Mr tout le monde

Mais femme de femme ça interpelle, ça fait jaser on peut encore tolérer
Mais toi la "salope", la femme sans nom
tu es dérangeante pour ces beaux messieurs tous en rond
toi qui ne veux plus être femme de… femme de… femme de…
simplement femme


********

Cristou.....5,78/10

Prose d'une belle qualité d'orthographe...
quant au contenu....NO COMMENT...
Vision personnelle et masculine de la femme
avec une finale humoristique
On ne vous demandait pas de dénigrer la femme
Mes poils se sont hérissés,
Un bel écrit mais, le moins qu'on puisse dire
c'est que vous ne faites pas l'apologie de la femme,
vous la supportez...

7 ... La femme

La femme est comme une fleur qui se nourrit aux gré des quatre saisons.
Elle nous prend la tête à tout instant de ses valeurs sans cesse, jouant l’innocente.
Et succombons tout le temps, car nous savons et avons tous nos raisons.

La femme bat notre cœur. Fragile inconsciente et manifestement au loin, nous protégeons.
Elle fait sans cesse notre fête, aime nous voir la supporter, nous les pauvres, armés de patience.
Supportons le moindre de ses caprices, pour la simple et bonne raison, c’est que nous l’aimons.

Femme d’un homme, où femme d’une femme, l’amour partagé est le même concernant le sentiment.
Une fois regard posé entre deux êtres croisés, la magie est née d'une nouvelle complicité et le tour est joué.
Elle nous a piégés, s’entiche, s’anime, s’excite et s’exhibe a souhait tout en sachant être enlaçant.

La femme, que ferions nous sans elle? La femme, vivrions nous sans ses ailes?
Elle, la plus belle drogue qui existe sur terre, nous retourne la tête et nous en fait voir de toutes couleurs.
Mais par-dessus tout, ne pouvons nous en passer car savons tous au fond, qu’elle est née pour nous emmerder.


********

apidany....7,58 /10

Bien que votre écrit ne soit pas en prose,
il est reste fort et courageux dans sa formulation
et correspond parfaitement au thème.
attention: bien suivre les consignes...
la prose était demandée...le fond est bien vu
un texte explicite qui fait mouche
et qui m'a donné toute satisfaction..
bravo au prestataire.
Hormis que cela relève davantage du poème que de la prose,
ce texte décrit ce long chemin parcouru et à quel prix.
C'est une éloge à la femme et un encouragement à continuer
de mener le combat à armes égales....contre les inégalités


8...Journée de la femme

Il n'est pas suffisant pour nos génitrices,
De consacrer seulement une journée bienfaitrice,
Il faudrait une année, voir même un millénaire,
Pour refaire le retard des idéaux grégaires.
Elles ont, malgré tout, fait beaucoup de chemins,
Parsemés d'obstacles et de rivaux malsains,
Quelquefois sans scrupule et soit disant divins.
C'est avec courage, qu'elles affirment leur destin.
Jamais nous ne laisserons toutes ces " petites mains; "
Affronter les outrages, préparés pour "demain ".
Les religions ne voient que par le masculin.
Mais sur ce sol de France, restons républicain.
Révolution, lève-toi ! Aide les pour demain !


********



Merci pour vos participations
Lys
*

Rendez-vous sur la page de LLumièrelive pour un nouveau concours : " Inventez un métier "
 
Dernière édition:

iboujo

Maître Poète
#3
je sais qui a emprunté la moitié du poéme de jj sur le texte 1
..mais je ne le dis pas ////je joue le jeu
surprise !!
 
S

solleïllä

Guest
#9
oh je l'imagine bien Daniel
Les femmes.

Les fleurs l'été par les abeilles courtisées,
Ne sont que milliers de trésors pour nos aimées,
Toutes ces belles dames à qui seul le temps,
Rend cet hommage en offrant ce joli présent ;

Les papillons par vent d'automne caressés,
Ne sont que feuilles des arbres aux teints cendrés,
Qui nous font oublier la saison où nos chères,
Alanguies aux parfums d'été furent fières ;

Les flocons de neige que nous portent l'hiver,
Au visage brumeux, ne sont que le mystère,
Des arbres victorieux qui nous cachent la phrase,
Gravée pour la belle dame avec emphase ;

Les bourgeons naissants un matin de printemps sont,
Fleurs d'été que les abeilles courtiseront ;
Ô l'automne rend cet hommage aux femmes,
Qui nous font oublier le temps où l'hiver se pâme
 
#10
Les femmes.

Les fleurs l'été par les abeilles courtisées,
Ne sont que milliers de trésors pour nos aimées,
Toutes ces belles dames à qui seul le temps,
Rend cet hommage en offrant ce joli présent ;

Les papillons par vent d'automne caressés,
Ne sont que feuilles des arbres aux teints cendrés,
Qui nous font oublier la saison où nos chères,
Alanguies aux parfums d'été furent fières ;

Les flocons de neige que nous portent l'hiver,
Au visage brumeux, ne sont que le mystère,
Des arbres victorieux qui nous cachent la phrase,
Gravée pour la belle dame avec emphase ;

Les bourgeons naissants un matin de printemps sont,
Fleurs d'été que les abeilles courtiseront ;
Ô l'automne rend cet hommage aux femmes,
Qui nous font oublier le temps où l'hiver se pâme
j'aime quand vous parlez d'amour Daniel
vos mots sont miel
 

zuc

Le chat noir
Membre du personnel
#11
bon il n'y a qu'un poème pour l'instant,
et bien mes dames cette page est pour vous pour une fois vous avez le droit de vous exprimer et la non personne,
mais alors pour parler pour rien dire et faire des cancans des commérages vous êtes toutes la
stop! rangez les couteaux de cuisine "lol" c'est juste pour rire,
bon je sent que je vais me foutre une perruque sur la tête pour écrire un texte sur cette page
 
#12
bon il n'y a qu'un poème pour l'instant,
et bien mes dames cette page est pour vous pour une fois vous avez le droit de vous exprimer et la non personne,
mais alors pour parler pour rien dire et faire des cancans des commérages vous êtes toutes la
stop! rangez les couteaux de cuisine "lol" c'est juste pour rire,
bon je sent que je vais me foutre une perruque sur la tête pour écrire un texte sur cette page
travesti toi mon chat et chuttttttttt
moi j'ai rien à dire
juste que nous sommes tous libre et égaux
mais malheureusement cela n'est pas ainsi partout
 

zuc

Le chat noir
Membre du personnel
#17
oups ! un texte contre ..trés étrange cet écrit
..encore un qui s'oublie lol
quelques préférences tout de même
tu parles du dernier le N° 7 ?
effectivement je pense qu'il faut prendre au second degrés sur le ton de l'ironie mais il est vrai que de rendre hommage à la journée de la femme sur le ton de l'ironie en utilisant nos jeux de séduction amoureuse peut paraitre mal compris surtout je pense qu'il y a bien plus à revendiquer pour rendre hommage comme il se doit,
 

zuc

Le chat noir
Membre du personnel
#19
oui le chat...
le dernier mot est baroque je reste polie
oui restons polis, disons que ce n'est pas de la provoque, c'est maladroit voilà,
moi je suis juste surpris du peut de texte donc du peut de dames qui si sont collées sachant que parmi ces 7 textes il y a un ou deux mecs qui reconnaissons en "on"
de cette exprimé sur le sujet "lol"
 
#20
oui restons polis, disons que ce n'est pas de la provoque, c'est maladroit voilà,
moi je suis juste surpris du peut de texte donc du peut de dames qui si sont collées sachant que parmi ces 7 textes il y a un ou deux mecs qui reconnaissons en "on"
de cette exprimé sur le sujet "lol"
lol mon chat
 
Statut
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