hors concours
J'habite la planète bleue...
Quand je ferme les yeux, tu es là sur un joli nuage,
Douceur éthérée...Mon âme s'emplit de bleu si pur...
Peut entendre chanter l'oiseau bleu...Son message
Est si clair, que brusquement, s'entrouvre l'azur...
Un voile bleu nous sépare, flotte sur un lit pervenche
Tu t'y prélasses sur un drap de soie reflétant le ciel,
Ton regard d'ange bleu aux éclats de saphir, déclenche
En moi, de merveilleux espoirs teintés d'arc-en-ciel...
Je ramasse un galet blanc, j'oublie ton corps absent...
Il porte en lui l'amour de deux sœurs, sa mémoire,
La délicatesse des plumbagos au bleu si transparent
Chantant la vie, celle à laquelle nous voulions croire...
J'habite la planète bleue, je suis le lys de l'immaculée
Au parterre d'iris de Van Gogh peint en bleu si intense,
Et je pleure mon immense solitude depuis ton envolée.
Me noie tout doucement au puits d'un chagrin immense...
Souvenirs parsemés de paons royaux aux cris lugubres,
Malgré leur beauté aux plumes outremer, j'ai au cœur,
Au fond de l'âme, des bleus indélébiles, et j'élucubre
Sur papier où j'ai dessiné pour toi, de bleus myosotis...
J'habite la planète bleue...
Quand je ferme les yeux, tu es là sur un joli nuage,
Douceur éthérée...Mon âme s'emplit de bleu si pur...
Peut entendre chanter l'oiseau bleu...Son message
Est si clair, que brusquement, s'entrouvre l'azur...
Un voile bleu nous sépare, flotte sur un lit pervenche
Tu t'y prélasses sur un drap de soie reflétant le ciel,
Ton regard d'ange bleu aux éclats de saphir, déclenche
En moi, de merveilleux espoirs teintés d'arc-en-ciel...
Je ramasse un galet blanc, j'oublie ton corps absent...
Il porte en lui l'amour de deux sœurs, sa mémoire,
La délicatesse des plumbagos au bleu si transparent
Chantant la vie, celle à laquelle nous voulions croire...
J'habite la planète bleue, je suis le lys de l'immaculée
Au parterre d'iris de Van Gogh peint en bleu si intense,
Et je pleure mon immense solitude depuis ton envolée.
Me noie tout doucement au puits d'un chagrin immense...
Souvenirs parsemés de paons royaux aux cris lugubres,
Malgré leur beauté aux plumes outremer, j'ai au cœur,
Au fond de l'âme, des bleus indélébiles, et j'élucubre
Sur papier où j'ai dessiné pour toi, de bleus myosotis...
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