JE TRAINE TOUS LES SOIRS
Je traîne tous les soirs ma béquille à la main
Sur des chemins noircis, noyés dans le silence.
Quand je pouvais courir, le phare du destin
S’éteignit d’un seul coup, perte de connaissance.
Dans la course du temps tout devient incertain
Les galops effrénés sont plus de circonstance
Je traîne tous les soirs ma béquille à la main
Sur des chemins noircis, noyés dans le silence.
J’égare mon regard sur l’horizon sans fin
Espérant du soleil sur un prochain matin
Pour goûter à nouveau de ce peu d’espérance.
Je poursuis chaque nuit ma route, mon errance
Je traîne tous les soirs ma béquille à la main
Sur des chemins noircis, noyés dans le silence.
jc blondel
Je traîne tous les soirs ma béquille à la main
Sur des chemins noircis, noyés dans le silence.
Quand je pouvais courir, le phare du destin
S’éteignit d’un seul coup, perte de connaissance.
Dans la course du temps tout devient incertain
Les galops effrénés sont plus de circonstance
Je traîne tous les soirs ma béquille à la main
Sur des chemins noircis, noyés dans le silence.
J’égare mon regard sur l’horizon sans fin
Espérant du soleil sur un prochain matin
Pour goûter à nouveau de ce peu d’espérance.
Je poursuis chaque nuit ma route, mon errance
Je traîne tous les soirs ma béquille à la main
Sur des chemins noircis, noyés dans le silence.
jc blondel