Je te tends la fleur de mes émois
Sens-tu mon amour,
mes seins contre les tiens
quand je t’embrasse délicatement
sur les rimes de tes lèvres
sous un porche,
près des quais de Seine,
à Paris,
là où la cathédrale Notre-Dame
s’arrime aux pontons des cieux,
et récite à l’azur des lais de flammes,
je te tends la fleur de mes émois.
Je te désire,
je ne veux plus de tes vêtements
qui cachent la beauté de tes hanches,
je veux te prendre
et apaiser la liesse de nos corps-à-corps,
je t’emmènerai ce soir
dans mon logement,
je te ferai redécouvrir dessus ma couche
la beauté de nos fêtes charnelles
que nous envient
secrètement les hommes,
l’aurore dévoilera
la virginité de nos voluptés intimes,
les sens grisés, nous repartirons sans cesse
à l’assaut du Plaisir,
à l’assaut de la Jouissance,
nous nous étreindrons,
puis nous nous endormirons
dans les bras l’une de l’autre
emportées par la houle de
la Féminité et de la tendresse !
Sophie Rivière
Sens-tu mon amour,
mes seins contre les tiens
quand je t’embrasse délicatement
sur les rimes de tes lèvres
sous un porche,
près des quais de Seine,
à Paris,
là où la cathédrale Notre-Dame
s’arrime aux pontons des cieux,
et récite à l’azur des lais de flammes,
je te tends la fleur de mes émois.
Je te désire,
je ne veux plus de tes vêtements
qui cachent la beauté de tes hanches,
je veux te prendre
et apaiser la liesse de nos corps-à-corps,
je t’emmènerai ce soir
dans mon logement,
je te ferai redécouvrir dessus ma couche
la beauté de nos fêtes charnelles
que nous envient
secrètement les hommes,
l’aurore dévoilera
la virginité de nos voluptés intimes,
les sens grisés, nous repartirons sans cesse
à l’assaut du Plaisir,
à l’assaut de la Jouissance,
nous nous étreindrons,
puis nous nous endormirons
dans les bras l’une de l’autre
emportées par la houle de
la Féminité et de la tendresse !
Sophie Rivière