Je t'attends, sur une plage,
Depuis un rivage
Trop lointain.
Si je vois ton bateau, un matin,
Je reconnaîtrais ta voile blanche.
Toi à la barre, moi accrochée à une planche,
Nous nous croiserions.
Le trajet serait long
Mais peu important.
Car si je ne suis pas déçue par l'action du temps sur toi,
Tu ne me regarderais pas.
J'entends la cornemuse,
Cet air qui t'amuse,
Mais pas moi.
Car jamais tu ne me connaîtra.
Si ton bateau ne vient point,
Depuis ce rivage trop loin,
Sur une plage tout le temps,
Je saurais que je t'attends
Depuis un rivage
Trop lointain.
Si je vois ton bateau, un matin,
Je reconnaîtrais ta voile blanche.
Toi à la barre, moi accrochée à une planche,
Nous nous croiserions.
Le trajet serait long
Mais peu important.
Car si je ne suis pas déçue par l'action du temps sur toi,
Tu ne me regarderais pas.
J'entends la cornemuse,
Cet air qui t'amuse,
Mais pas moi.
Car jamais tu ne me connaîtra.
Si ton bateau ne vient point,
Depuis ce rivage trop loin,
Sur une plage tout le temps,
Je saurais que je t'attends