Peut heurter la sensibilité !
Mon Dieu! Quelle est cette grosse tache rouge sur la table?
Ma Mie qu’as-tu fait? Pour qu’elle s’écoule autant sous l’étable?
Oh my Good! Qu’as-tu préparé pour que ça manque de charme?
Ma Mie un dîner sentant si mauvais qui pourrait tuer les vers sans vacarme.
Envahissants jardin, jusqu’entre mes jambes la nuit me réveillant
Et tes ronflements m’empêchant de me rendormir. Que de nuits, tu me fais vivre!
Oh combien je rêve parfois me voir t’étouffer avec coussin humide ma biche!
Mais qui après s’occupera du ménage? Si tu n’es plus là qui sera ma bonniche!
Ma Mie! Qu’attends-tu pour nettoyer la table?
Que je le fasse avec le papier de mon journal?
Où la mie de pain et les fourmis qui les baladent!
Et ce truc au four qui empeste à rendre fou un cheval!
Mon vieux! La seule tache que je vois sur la table, c’est toi!
Ma Pie que fais-tu? A part te plaindre et reste à observer mes actes?
Siroter ton vin d’une main et cloper de l’autre jusqu'à en avoir soif!
Laisse moi préparer ce dîner tranquillement avant que je ne manque de tact
T’évadant dans la cuisine, les pieds éventails, tu les relèves juste quand je balaye!
Transparent, incandescent, tes murmures fredonnent sans fin jusque mon oreille…
Va chercher du pain et fait toi écraser par une Coccinelle, enfin je serais débarrassé.
Dans la pénombre, parka et tongs de parfum, je me dois libérer de tes cris de crécelles…
Ma Pie, t’évanouissant au loin
Tu t’éloignes sans fin, quel délire
Vivre et m’exprimer enfin sans fin
T’évanouir en vain, prendre plaisir…
Ma Dame, te souviens tu, l’été que nous avons partagé sur une barque?
Cette journée à rêvasser entière, ensemble nous étions livré à nous même.
A pêcher sans personne autour pour nous perturber, le rêve sans arnaque…
Cette journée là, une seule pensée, te jeter de la barque et te voir te faire dévorer……
Ou simplement te regarder te noyer, applaudir les bulles d’air qui explosent en surface
Faire semblant de te tendre la main pour te sauver et la reprendre pour que tu t’effaces.
Ah si seulement c’était possible d’assister enfin à ton enterrement, être à la première place
Je pleurerai, de joie de te savoir froide et je clamerais la nouvelle dans le petit journal …
Mon Sieur, te rappel tu, de ce jour fleurie au printemps où nous nous baladions en forêt
Tu as voulu me précéder et tu as glissé, comme j’ai regretté quand tu t’es relevé
J’aurais joui de te voir te rouler par terre t’écorché les genoux, les coudes et tout le corps
Courir derrière toi, non pour te rattraper mais pour mieux apprécié ta chute encore et encore
Ah toutes ces année à espérer, à attendre ta mort et à m'ennuyer aussi en tes absences
comme mes repas son désagréable en ta compagnie, comme un festin est amer sans toi
j'aime te haïr et porter le blâme sur toi et je déteste encore plus t'aimer et regretter la souffrance
Quand on se punie avec des silences, quand tu m’ignores ou quand tu t’en vas.
Et moi ma douce, ma jolie rousse tu sais que j’aime t’aimer avec violence des mots
Quand tu frémis quand tu gémis de colère ça m’émoustille, m’excite, c’est mon défaut
Que souhaiter que te disparaisses n’est qu’un stupide et faux vœu
Qu’importe les coups bas, les jours de grâces ma vie est blême sans tes yeux
Je t'aime, moi non plus.
(Duo Cristou et lecoeurentretesmains)
(Duo Cristou et lecoeurentretesmains)
Mon Dieu! Quelle est cette grosse tache rouge sur la table?
Ma Mie qu’as-tu fait? Pour qu’elle s’écoule autant sous l’étable?
Oh my Good! Qu’as-tu préparé pour que ça manque de charme?
Ma Mie un dîner sentant si mauvais qui pourrait tuer les vers sans vacarme.
Envahissants jardin, jusqu’entre mes jambes la nuit me réveillant
Et tes ronflements m’empêchant de me rendormir. Que de nuits, tu me fais vivre!
Oh combien je rêve parfois me voir t’étouffer avec coussin humide ma biche!
Mais qui après s’occupera du ménage? Si tu n’es plus là qui sera ma bonniche!
Ma Mie! Qu’attends-tu pour nettoyer la table?
Que je le fasse avec le papier de mon journal?
Où la mie de pain et les fourmis qui les baladent!
Et ce truc au four qui empeste à rendre fou un cheval!
Mon vieux! La seule tache que je vois sur la table, c’est toi!
Ma Pie que fais-tu? A part te plaindre et reste à observer mes actes?
Siroter ton vin d’une main et cloper de l’autre jusqu'à en avoir soif!
Laisse moi préparer ce dîner tranquillement avant que je ne manque de tact
T’évadant dans la cuisine, les pieds éventails, tu les relèves juste quand je balaye!
Transparent, incandescent, tes murmures fredonnent sans fin jusque mon oreille…
Va chercher du pain et fait toi écraser par une Coccinelle, enfin je serais débarrassé.
Dans la pénombre, parka et tongs de parfum, je me dois libérer de tes cris de crécelles…
Ma Pie, t’évanouissant au loin
Tu t’éloignes sans fin, quel délire
Vivre et m’exprimer enfin sans fin
T’évanouir en vain, prendre plaisir…
Ma Dame, te souviens tu, l’été que nous avons partagé sur une barque?
Cette journée à rêvasser entière, ensemble nous étions livré à nous même.
A pêcher sans personne autour pour nous perturber, le rêve sans arnaque…
Cette journée là, une seule pensée, te jeter de la barque et te voir te faire dévorer……
Ou simplement te regarder te noyer, applaudir les bulles d’air qui explosent en surface
Faire semblant de te tendre la main pour te sauver et la reprendre pour que tu t’effaces.
Ah si seulement c’était possible d’assister enfin à ton enterrement, être à la première place
Je pleurerai, de joie de te savoir froide et je clamerais la nouvelle dans le petit journal …
Mon Sieur, te rappel tu, de ce jour fleurie au printemps où nous nous baladions en forêt
Tu as voulu me précéder et tu as glissé, comme j’ai regretté quand tu t’es relevé
J’aurais joui de te voir te rouler par terre t’écorché les genoux, les coudes et tout le corps
Courir derrière toi, non pour te rattraper mais pour mieux apprécié ta chute encore et encore
Ah toutes ces année à espérer, à attendre ta mort et à m'ennuyer aussi en tes absences
comme mes repas son désagréable en ta compagnie, comme un festin est amer sans toi
j'aime te haïr et porter le blâme sur toi et je déteste encore plus t'aimer et regretter la souffrance
Quand on se punie avec des silences, quand tu m’ignores ou quand tu t’en vas.
Et moi ma douce, ma jolie rousse tu sais que j’aime t’aimer avec violence des mots
Quand tu frémis quand tu gémis de colère ça m’émoustille, m’excite, c’est mon défaut
Que souhaiter que te disparaisses n’est qu’un stupide et faux vœu
Qu’importe les coups bas, les jours de grâces ma vie est blême sans tes yeux