Sur le quai je regarde les bateaux
Et les filles qui passent en vélo
Je traîne, dans les rues pavées
Dans la grande ville, ensoleillée
Je pense à toi que j’aime
Je t’aime, je pense à toi
Il fait du vent, j’ai froid
Assis à la terrasse d’un café
Où je suis seul, où je m’ennuie
Quand je ne peux pas te regarder
Je baille étouffant de mélancolie
Dans les rues tranquilles, je traîne
J’ai encore ton odeur sur moi
Et dans le soir qui reviens déjà
Après cette journée blême
Je pense à toi que j’aime
Je t’aime, je pense à toi
La guitare entre mes bras
Je gribouille, un poème
Qui répète que je t’aime
Je t’aime, je pense à toi
....
Quel poète n'a jamais écrit "je t'aime"
Et les filles qui passent en vélo
Je traîne, dans les rues pavées
Dans la grande ville, ensoleillée
Je pense à toi que j’aime
Je t’aime, je pense à toi
Il fait du vent, j’ai froid
Assis à la terrasse d’un café
Où je suis seul, où je m’ennuie
Quand je ne peux pas te regarder
Je baille étouffant de mélancolie
Dans les rues tranquilles, je traîne
J’ai encore ton odeur sur moi
Et dans le soir qui reviens déjà
Après cette journée blême
Je pense à toi que j’aime
Je t’aime, je pense à toi
La guitare entre mes bras
Je gribouille, un poème
Qui répète que je t’aime
Je t’aime, je pense à toi
....
Quel poète n'a jamais écrit "je t'aime"