S’amusant parfois aux creux des cascades du temps à la recherche de quelques nourritures, ils dansent.
Au gré des pluies de destins, parfois, leurs regards désincarnés s’égarent et flânent, soumis par tant de mutisme spirite.
Il ne faut pas dire car le mot est inutile à cet instant.
Je souffle sur tes braises, depuis toujours et ton odeur boisée m'enivre, tu le sais
Demandes leur donc, ils te répondent ce qu’ils doivent, comme tout ce qui est cela
Je pense à toi et tu es là
Au gré des pluies de destins, parfois, leurs regards désincarnés s’égarent et flânent, soumis par tant de mutisme spirite.
Il ne faut pas dire car le mot est inutile à cet instant.
Je souffle sur tes braises, depuis toujours et ton odeur boisée m'enivre, tu le sais
Demandes leur donc, ils te répondent ce qu’ils doivent, comme tout ce qui est cela
Je pense à toi et tu es là