Ne lisez surtout pas cela comme un poème,
J'avais juste besoin de le dire,
Pour vider mon coeur en délire,
Et persévérer à rester moi-même.
Je pose sur toi mon plus sincère regard,
Mais je sais au fond de moi que tu n'es plus là,
Je m'approche tendrement vers toi,
Mais avec tristesse j'entends, tes pas s'égarent.
C'est ainsi que je dois le ressentir,
M'attendre à te voir t'enfuir,
Pourtant je voudrais te retenir,
Je te respecte, je ne peux te le dire.
Je me sens loin au fond du couloir,
J'ai peur en mon corps, il fait si noir,
Je suis perdue, seule, au fond de mon trou,
Je frissonne de toute mon âme, tout me semble flou.
Ou plutôt tout devient clair,
Je crie haut et fort que je gère,
Mais finalement c'est trop dur,
Trop de choses......j'endure.
Je t'aime à ma manière sincèrement,
Mes mots, tu les comprends à l'envers,
Mes gestes, tu les regardes de travers,
Pour toi, je suis juste la mère de tes enfants.
Me battre, encore combien de temps,
Pour te voir finalement partir,
Pardonnes moi, ce soir le répondeur te dira :"absent",
Car, doucement , il s'efface mon sourire.
Demain sera un autre jour,
Mais hier, j'ai compris,
Que ton silence reste sans détour,
Aujourd'hui, je l'ai admis.
J'avais juste besoin de le dire,
Pour vider mon coeur en délire,
Et persévérer à rester moi-même.
Je pose sur toi mon plus sincère regard,
Mais je sais au fond de moi que tu n'es plus là,
Je m'approche tendrement vers toi,
Mais avec tristesse j'entends, tes pas s'égarent.
C'est ainsi que je dois le ressentir,
M'attendre à te voir t'enfuir,
Pourtant je voudrais te retenir,
Je te respecte, je ne peux te le dire.
Je me sens loin au fond du couloir,
J'ai peur en mon corps, il fait si noir,
Je suis perdue, seule, au fond de mon trou,
Je frissonne de toute mon âme, tout me semble flou.
Ou plutôt tout devient clair,
Je crie haut et fort que je gère,
Mais finalement c'est trop dur,
Trop de choses......j'endure.
Je t'aime à ma manière sincèrement,
Mes mots, tu les comprends à l'envers,
Mes gestes, tu les regardes de travers,
Pour toi, je suis juste la mère de tes enfants.
Me battre, encore combien de temps,
Pour te voir finalement partir,
Pardonnes moi, ce soir le répondeur te dira :"absent",
Car, doucement , il s'efface mon sourire.
Demain sera un autre jour,
Mais hier, j'ai compris,
Que ton silence reste sans détour,
Aujourd'hui, je l'ai admis.