Je rêve de l'odeur de ta peau.
Je rêve de la douceur de tes lèvres.
Je rêve de la chaleur de ton corps contre le mien.
O que je rêve de toi !
Toutes mes pensées s'envolent vers toi.
Tous mes mots vont vers toi.
Je ne peux m'empêcher de t'observer.
Mon cœur ne cesse de te réclamer.
Mon corps frisonne.
Je n'ai plus toute ma raison.
Je n'ai plus toute ma joie de vivre.
Je te regarde t'amuser.
« La prêtresse gitane l'avait dit,
Rien n'est jamais fini,
Elle voit mes rêves avec tes rêves autour »
T'es toujours le même.
Réservé avec les filles,
Toujours là pour tes amis.
Et moi je te regarde.
Après tout, on est rien l'un pour l'autre.
Je ne fais pas partie de tes amis,
Je ne fais pas réellement partie de tes connaissances.
O désespoir !
Aujourd'hui je rêve.
Ce soir, je vais m'endormir sur ces pensées.
M'endormir sur mon amour interdit,
Mon amour impossible.
Je rêve de la douceur de tes lèvres.
Je rêve de la chaleur de ton corps contre le mien.
O que je rêve de toi !
Toutes mes pensées s'envolent vers toi.
Tous mes mots vont vers toi.
Je ne peux m'empêcher de t'observer.
Mon cœur ne cesse de te réclamer.
Mon corps frisonne.
Je n'ai plus toute ma raison.
Je n'ai plus toute ma joie de vivre.
Je te regarde t'amuser.
« La prêtresse gitane l'avait dit,
Rien n'est jamais fini,
Elle voit mes rêves avec tes rêves autour »
T'es toujours le même.
Réservé avec les filles,
Toujours là pour tes amis.
Et moi je te regarde.
Après tout, on est rien l'un pour l'autre.
Je ne fais pas partie de tes amis,
Je ne fais pas réellement partie de tes connaissances.
O désespoir !
Aujourd'hui je rêve.
Ce soir, je vais m'endormir sur ces pensées.
M'endormir sur mon amour interdit,
Mon amour impossible.