Note: écrit quatre ans plus tôt, en mémoire d'une amitié qui a pris fin, parce qu'après trois ans de séparation, la personne que j'ai retrouvée n'était plus du tout la même. Et si cette différence et l'éloignement définitif qui en a résulté a été douloureux pour moi, ça n'a pas l'air de l'avoir troublée plus que ça....
Je pense à toi...
Lorsque l'aube se lève, illuminant le ciel,
Et recouvrant le monde de lueurs irréelles,
Quand j'admets que le monde continue de tourner,
Je pense à toi dans mon coeur effacé.
Quand je pose ma plume pour me reposer,
Lorsque sonne au matin les dix heures du clocher,
Et qu'autour de moi tout le monde sourit,
Je pense à toi dans mon coeur meurtri.
Lorsque le jour monte au plus haut
Et que vient l'heure où il fait le plus chaud,
Levant vers le ciel mon regard déprimé,
Je pense à toi dans mon coeur oublié.
Lorsque enfin sonne la quatrième heure,
Le paroxysme de ma douleur,
Quand je finis alors par me retourner,
Je pense à toi dans mon coeur égaré.
Lorsque la soirée finalement commence,
Et que nul n'entrevoit mon besoin d'assistance,
Quand viennent toujours les heures les plus sombres,
Je pense à toi dans mon coeur et dans l'ombre.
Quand la lune se lève, seule en qui je crois,
Je réalise que tu n'es plus là.
Et levant les yeux vers le ciel étoilé,
Je pense à toi dans mon coeur déchiré.
Quand l'Aurore entama une nouvelle journée,
Quand, les yeux pleins de larmes, j'ai laissé tomber,
Quand j'ai compris qu'à tout je devais renoncer,
J'ai pensé à toi et mon coeur s'est brisé.
Je pense à toi...
Lorsque l'aube se lève, illuminant le ciel,
Et recouvrant le monde de lueurs irréelles,
Quand j'admets que le monde continue de tourner,
Je pense à toi dans mon coeur effacé.
Quand je pose ma plume pour me reposer,
Lorsque sonne au matin les dix heures du clocher,
Et qu'autour de moi tout le monde sourit,
Je pense à toi dans mon coeur meurtri.
Lorsque le jour monte au plus haut
Et que vient l'heure où il fait le plus chaud,
Levant vers le ciel mon regard déprimé,
Je pense à toi dans mon coeur oublié.
Lorsque enfin sonne la quatrième heure,
Le paroxysme de ma douleur,
Quand je finis alors par me retourner,
Je pense à toi dans mon coeur égaré.
Lorsque la soirée finalement commence,
Et que nul n'entrevoit mon besoin d'assistance,
Quand viennent toujours les heures les plus sombres,
Je pense à toi dans mon coeur et dans l'ombre.
Quand la lune se lève, seule en qui je crois,
Je réalise que tu n'es plus là.
Et levant les yeux vers le ciel étoilé,
Je pense à toi dans mon coeur déchiré.
Quand l'Aurore entama une nouvelle journée,
Quand, les yeux pleins de larmes, j'ai laissé tomber,
Quand j'ai compris qu'à tout je devais renoncer,
J'ai pensé à toi et mon coeur s'est brisé.