Je ne suis qu’une ombre,
La journée je déambule, sans but, sans vraiment en avoir envie,
La nuit je repense à celles que nous passions ensemble, quand tu faisais entièrement partie de ma vie.
Je ne suis que l’ombre d’un être qui survit.
Je suis l’ombre de tes gestes,
Je les vois sans cesse,
Je suis l’ombre de tes sourires, de ton rire.
Je suis l’ombre de ton odeur,
Partout elle m’effleure,
Dans mes draps, toujours ta voix.
Je suis l’ombre de ton corps,
Il est contre moi quand je dors.
Je suis l’ombre de tes bras,
Qui m’entourent quand dans le désespoir je me noie.
Je suis l’ombre de tes yeux,
Dont je suis fou amoureux.
Je suis l’ombre de ta bouche,
Celle qui dans mes songes me touche.
Mais tous ce que je sens n’existe pas,
Je suis l’ombre de moi.
Partout l’absence de tes gestes, de tes sourires, de ton rire,
L’absence de ton odeur, de ton corps contre moi,
Me rappelle que je suis seule, que tu n’es plus la,
Je suis l’ombre de toi.
Et je vis dans le passé,
Le temps où l’on pouvait s’aimer.
Cloé.
Juin 2006
La journée je déambule, sans but, sans vraiment en avoir envie,
La nuit je repense à celles que nous passions ensemble, quand tu faisais entièrement partie de ma vie.
Je ne suis que l’ombre d’un être qui survit.
Je suis l’ombre de tes gestes,
Je les vois sans cesse,
Je suis l’ombre de tes sourires, de ton rire.
Je suis l’ombre de ton odeur,
Partout elle m’effleure,
Dans mes draps, toujours ta voix.
Je suis l’ombre de ton corps,
Il est contre moi quand je dors.
Je suis l’ombre de tes bras,
Qui m’entourent quand dans le désespoir je me noie.
Je suis l’ombre de tes yeux,
Dont je suis fou amoureux.
Je suis l’ombre de ta bouche,
Celle qui dans mes songes me touche.
Mais tous ce que je sens n’existe pas,
Je suis l’ombre de moi.
Partout l’absence de tes gestes, de tes sourires, de ton rire,
L’absence de ton odeur, de ton corps contre moi,
Me rappelle que je suis seule, que tu n’es plus la,
Je suis l’ombre de toi.
Et je vis dans le passé,
Le temps où l’on pouvait s’aimer.
Cloé.
Juin 2006