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Je n'ai pas bu mais je suis comme ivre

oceane09

Maître Poète
#1
"Je n'ai pas bu mais je suis comme ivre. J'ai le coeur en miettes, et une tempête fait rage en moi. J'ai peur, je suis en colère, je suis triste et je suis amoureuse. J'ai du te laisser partir car tu ne te voyais pas avec moi et je devais , par amour, te laisser partir construire ton bonheur ailleurs. Sauf que depuis ce jour, je ne dors plus, je ne mange plus et je ne souris plus. J'ai si mal que chaque soir je prie Dieu d'abréger cette souffrance et de m'accueillir avec lui. La seule personne qui partage mon chagrin est la solitude. Je suis incapable d'appeler à l'aide, incapable de mettre des mots sur tout ça. Je ne sais pas où je vais et je vacille. Je ne marche plus droit et je tombe volontiers dans chaque piège que le chagrin me tend."
 

Polymnie2

Maître Poète
#4
Quand une fatigue se répand, les pensées se croisent en tumulte la dérive,
On se passe de penser pour ne pas culbuter!
A défaut de ne pouvoir sortir, car dehors tout s'agrandit! tout s'agrave!
On prend du repos, celui du guerrier, devant la télé indifférente à distraire
le chahut silencieux d'une tête!!
Qu'il est bon ce répit! combien bienfaiteur aussi!

Un texte qui dit bien ce qu'il veut dire!

Merci Océane, Amicalement Poly
 
#5
tu marches au bord du précipice depressif je crois

deux solutions sont possibles , ou bien tu te laisses tomber dedans
ou alors tu combats et tu fais ce qu'il faut pour t'en éloigner , trouver d'autres centres d"'intérêt ,
sortir prendre l'air car il est vivifiant , bouger , résister !!

mais pour les deux il faut du courage alors je t'en joins une grosse quantité en pensées