En ce soir étrange, je me couche,
Des tas de mots au bout de ma bouche,
Je regarde par la fenêtre,
Et je vois le hêtre,
Mon compagnon de toujours,
Les lucioles, en général, tournent autour,
Mais ce soir aucun chant,
Ne brise mon tourment,
Je ne comprends pas pourquoi,
Je ne les sens pas,
Le souffle du vent sur ma peau,
La chaleur des étoiles dans mon dos,
Enfin si,
J'ai comprit,
Pourquoi mon monde s'effondre,
Pourquoi je me sens fondre,
La pollution détruit notre atmosphère,
L'Homme tue notre Terre,
Et je ne peux faire que peu de chose seule,
Ensemble, la protéger serai si simple,
Pour ne pas m'écraser,
Je reste à Ses côtés,
Et aux côtés de Ses enfants,
Mais l'Homme se sent plus grand,
Que les animaux,
Pourtant ce sont les seuls qui ont comprit,
Que notre Terre dépérit,
Grenouilles, canards, moutons, chevaux,
Tous sont au courant,
Mais me l'avait déjà soufflé le vent,
Je me rappel un temps,
Il y a bien longtemps,
Ce même vent qui, à emmeler mes cheveux, jouait,
En ce temps, pendant que la chaleur m'endormait,
Ce n'est plus pareil maintenant,
Car j'étouffe tout doucement.
merci à tous ceux qui m'ont lu !
(lâcher vos commentaires! ^^)
Des tas de mots au bout de ma bouche,
Je regarde par la fenêtre,
Et je vois le hêtre,
Mon compagnon de toujours,
Les lucioles, en général, tournent autour,
Mais ce soir aucun chant,
Ne brise mon tourment,
Je ne comprends pas pourquoi,
Je ne les sens pas,
Le souffle du vent sur ma peau,
La chaleur des étoiles dans mon dos,
Enfin si,
J'ai comprit,
Pourquoi mon monde s'effondre,
Pourquoi je me sens fondre,
La pollution détruit notre atmosphère,
L'Homme tue notre Terre,
Et je ne peux faire que peu de chose seule,
Ensemble, la protéger serai si simple,
Pour ne pas m'écraser,
Je reste à Ses côtés,
Et aux côtés de Ses enfants,
Mais l'Homme se sent plus grand,
Que les animaux,
Pourtant ce sont les seuls qui ont comprit,
Que notre Terre dépérit,
Grenouilles, canards, moutons, chevaux,
Tous sont au courant,
Mais me l'avait déjà soufflé le vent,
Je me rappel un temps,
Il y a bien longtemps,
Ce même vent qui, à emmeler mes cheveux, jouait,
En ce temps, pendant que la chaleur m'endormait,
Ce n'est plus pareil maintenant,
Car j'étouffe tout doucement.
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