J’importune.
Quand je n’ai plus d’espoir
Je danse seul, nu dans la neige
Écoutant la chanson qui entraine
Je hurle ma solitude
Quand je n’ai plus d’espoir
Seul, sur la falaise face au vent
Regardant voler le goéland
Je hurle l’ingratitude
Quand je n’ai plus d’espoir
Je regarde ton visage au miroir
Humant tes odeurs d'un soir
Je hurle à la pleine lune
Quant au matin se lève la brume
Je me blottis, en enfant, contre les dunes
De ton corps que j’importune
Loïc ROUSSELOT
Quand je n’ai plus d’espoir
Je danse seul, nu dans la neige
Écoutant la chanson qui entraine
Je hurle ma solitude
Quand je n’ai plus d’espoir
Seul, sur la falaise face au vent
Regardant voler le goéland
Je hurle l’ingratitude
Quand je n’ai plus d’espoir
Je regarde ton visage au miroir
Humant tes odeurs d'un soir
Je hurle à la pleine lune
Quant au matin se lève la brume
Je me blottis, en enfant, contre les dunes
De ton corps que j’importune
Loïc ROUSSELOT
Dernière édition:
