Je garde dans mon coeur , l'imprévisible rencontre,
Pourquoi toi, pourquoi moi, nous ne saurons jamais,
Mais dans mon coeur de femme au tic tac de sa montre,
Il y a le temps de ces heures, des mois et des années.
Le temps blanc de l'hermine, puisque c'était l 'hiver ,
Une fin d'années banale, nous n'aimons pas les Fêtes,
"Trop commerciales," disais-tu, j'acquiesçais de la tête,
Des soirées toile, et puis , tu t'es lancé à découvert.
La saison est passée, la fleur du rosier a mûri,
J'étais sombre, dans un néant, vide de rien, imposé,
As-tu à ces moments , ressenti une forme de pitié?
Tu m'as dit: Non, ....j 'avais les mots engourdis.
Plus tard , mes vers charmeurs t'ont des fois bousculé,
J'aimais t'entendre dire: que "l'émotion passait' ,
Je garde dans mon coeur ta perle aux coins des yeux,
Cet autre , avait "une chute" , tu restais silencieux.
Quand je sais de tes silences , "leur effet miroir",
Selon le degré de température de mon esprit,
Si ce soir ,par cette rime intimiste ,je confie,
C'est pour saluer ta Foi en un pet divinatoire.
Tu es sacrément chouette, et tes imperfections,
Sont si attendrissantes, je peux bouillir, râler;
Tu es encore dans le camp,merci pour l'amitié,
Merci pour ta présence, fasse que nous restions
Ce que nous sommes , des potes 'de campagne'
De guerres j'en ai fait , nous nous sommes battus,
Mon cour est bien léger , je dois te l'avouer,
Cette nuit blanche , je l ' ai passé à te parler.
Si j'ai repris la route, si je marche droit devant,
C'est grâce à ton écoute, à ce qu'elle insufflait,
Quand souvent je craquais , y croyais-tu vraiment ?
Je pense à présent que ta Sagesse est bien inné.....
A mon ami JP...
Pourquoi toi, pourquoi moi, nous ne saurons jamais,
Mais dans mon coeur de femme au tic tac de sa montre,
Il y a le temps de ces heures, des mois et des années.
Le temps blanc de l'hermine, puisque c'était l 'hiver ,
Une fin d'années banale, nous n'aimons pas les Fêtes,
"Trop commerciales," disais-tu, j'acquiesçais de la tête,
Des soirées toile, et puis , tu t'es lancé à découvert.
La saison est passée, la fleur du rosier a mûri,
J'étais sombre, dans un néant, vide de rien, imposé,
As-tu à ces moments , ressenti une forme de pitié?
Tu m'as dit: Non, ....j 'avais les mots engourdis.
Plus tard , mes vers charmeurs t'ont des fois bousculé,
J'aimais t'entendre dire: que "l'émotion passait' ,
Je garde dans mon coeur ta perle aux coins des yeux,
Cet autre , avait "une chute" , tu restais silencieux.
Quand je sais de tes silences , "leur effet miroir",
Selon le degré de température de mon esprit,
Si ce soir ,par cette rime intimiste ,je confie,
C'est pour saluer ta Foi en un pet divinatoire.
Tu es sacrément chouette, et tes imperfections,
Sont si attendrissantes, je peux bouillir, râler;
Tu es encore dans le camp,merci pour l'amitié,
Merci pour ta présence, fasse que nous restions
Ce que nous sommes , des potes 'de campagne'
De guerres j'en ai fait , nous nous sommes battus,
Mon cour est bien léger , je dois te l'avouer,
Cette nuit blanche , je l ' ai passé à te parler.
Si j'ai repris la route, si je marche droit devant,
C'est grâce à ton écoute, à ce qu'elle insufflait,
Quand souvent je craquais , y croyais-tu vraiment ?
Je pense à présent que ta Sagesse est bien inné.....
A mon ami JP...