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Je chante l'astre de ta splendeur

rivière

Maître Poète
#1
Je chante l’astre de ta splendeur

Les rameaux se balancent
dans le silence,
au loin, là où la terre rejoint le ciel,
là où agonise le soleil.


Assise contre l’arc de tes hanches,
parmi le refrain d’une brise,
je te récite à genoux,
ô mon amante,


des strophes de langueur qui te conduisent
vers les rives de la Grâce,
c’est l’heure exquise des offrandes,
je chante la royauté de ta Beauté,


le parfum de tes voluptés, et l’astre de ta splendeur.
Levons-nous maintenant,
car tombe la brune,
nos robes volettent au gré des rimes du vent,


le crissement de nos bas
invoque l’appel du désir
quand nous marchons paume contre paume
dessus l’ombre des roses,


parfois, je dépose sur la soie de tes lèvres
l’aile d’un baiser.
A notre arrivée dans notre borde,
après le souper, dans notre chambre,


je redécouvrirai en robe de nudité comme toi,
ô ma Vénérée,
le rire de ton corps si doux,
et la grâce infinie de nos fêtes charnelles,


car ne vous en déplaise, messieurs les censeurs,
il n’y a rien de beau que deux femmes
bramant à la face du monde
la magnificence de leurs Amours si belles et si pures !


Sophie Rivière
 

Vega46

Maître Poète
#2
Bonjour Sophie, l'astre de ta splendeur pourrait être également Vénus la déesse de l'amour...
Elle répond au chant d'amour...
Amitiés poétiques
Maurice M
 

Le Zéphyr

Maître Poète
#3
Je chante l’astre de ta splendeur

Les rameaux se balancent
dans le silence,
au loin, là où la terre rejoint le ciel,
là où agonise le soleil.


Assise contre l’arc de tes hanches,
parmi le refrain d’une brise,
je te récite à genoux,
ô mon amante,


des strophes de langueur qui te conduisent
vers les rives de la Grâce,
c’est l’heure exquise des offrandes,
je chante la royauté de ta Beauté,


le parfum de tes voluptés, et l’astre de ta splendeur.
Levons-nous maintenant,
car tombe la brune,
nos robes volettent au gré des rimes du vent,


le crissement de nos bas
invoque l’appel du désir
quand nous marchons paume contre paume
dessus l’ombre des roses,


parfois, je dépose sur la soie de tes lèvres
l’aile d’un baiser.
A notre arrivée dans notre borde,
après le souper, dans notre chambre,


je redécouvrirai en robe de nudité comme toi,
ô ma Vénérée,
le rire de ton corps si doux,
et la grâce infinie de nos fêtes charnelles,


car ne vous en déplaise, messieurs les censeurs,
il n’y a rien de beau que deux femmes
bramant à la face du monde
la magnificence de leurs Amours si belles et si pures !


Sophie Rivière

C'est très beau, j'aime beaucoup votre amour et comment vous l'écrivez.