Quand vient le crépuscule éveiller ma détresse,
De te sentir perdu dans ce monde insensé,
Je dessine l’instant dans toute ma faiblesse
Et me vois dans l’oubli sur mon cœur cadencé.
De te sentir perdu dans ce monde insensé,
Je dessine l’instant dans toute ma faiblesse
Et me vois dans l’oubli sur mon cœur cadencé.
Quand les larmes d'hiver devinent ton visage
Qu'Au solstice de juin, n'avais que seul bercé,
Dans L'ombre de tes yeux, qui fait le paysage
De mon absent destin qu'en ton cœur s'est versé.
Qu'Au solstice de juin, n'avais que seul bercé,
Dans L'ombre de tes yeux, qui fait le paysage
De mon absent destin qu'en ton cœur s'est versé.
Je me noie en ton pleur où frémit le silence
Tes mots sont le reflet d’un esprit tourmenté
Je ne regarde plus de ton vœu l’excellence
Qui vient mourir le soir sous l’astre fragmenté.
Tes mots sont le reflet d’un esprit tourmenté
Je ne regarde plus de ton vœu l’excellence
Qui vient mourir le soir sous l’astre fragmenté.
Le spectre langoureux de ton plus beau poème
Coule d'automnes longs, de t'avoir espéré,
Et frissonnent mes mains d'un arôme bohème
De ma ligne venir ton secret préféré.
Coule d'automnes longs, de t'avoir espéré,
Et frissonnent mes mains d'un arôme bohème
De ma ligne venir ton secret préféré.
Dans l’ombre de tes mots je me sens solitaire
Ô ! Poète entends-moi pour te parler d’amours,
Je ne suis que misère en l’œuvre tributaire
Qui tient à conquérir le vent de tes contours.
Ô ! Poète entends-moi pour te parler d’amours,
Je ne suis que misère en l’œuvre tributaire
Qui tient à conquérir le vent de tes contours.
De ton ample regard laisse enfin la lumière
Sur mon cœur déposer la trace de ton corps
Qu'attendait ma saison pour refleurir entière
L'ombrage aérien de tes plus beaux accords....
Sur mon cœur déposer la trace de ton corps
Qu'attendait ma saison pour refleurir entière
L'ombrage aérien de tes plus beaux accords....
Duo Rêve Lunaire et Maria-Dolores
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