En ces jours du premier mois de l'année
Je reste englouti dans un silence condamné
Implorant sans cesse la renaissance d'une vie
Délogeant peu à peu les affres de l'hiver qui sévit
La plume est à mes doigts en ce mois de Janvier
Le froid glacial ne se laisse envier
Le soleil qui se fait rare refuse de briller
Envie de me réchauffer je suis le dernier
Pour ce janvier qui, deux mois et davantage il dure
L'hiver prend place et s'installe à toute allure
La neige pèse lourd sur ma pauvre nature
A satiété, m'offre des œuvres de peinture
Moi, poète bédouin, je meurs d'ennui
Je compose mes vers au rythme de la pluie
Dehors, l'oiseau penche sa tête et se met à l'abris
L'herbe frissonne et déteste le ciel gris.
Je reste englouti dans un silence condamné
Implorant sans cesse la renaissance d'une vie
Délogeant peu à peu les affres de l'hiver qui sévit
La plume est à mes doigts en ce mois de Janvier
Le froid glacial ne se laisse envier
Le soleil qui se fait rare refuse de briller
Envie de me réchauffer je suis le dernier
Pour ce janvier qui, deux mois et davantage il dure
L'hiver prend place et s'installe à toute allure
La neige pèse lourd sur ma pauvre nature
A satiété, m'offre des œuvres de peinture
Moi, poète bédouin, je meurs d'ennui
Je compose mes vers au rythme de la pluie
Dehors, l'oiseau penche sa tête et se met à l'abris
L'herbe frissonne et déteste le ciel gris.