J’aimerais...
J'aimerais partir loin de tout, de toute cette agitation autour de moi.
Cette tension qui monte, cette angoisse qui me prend au cou et où un étau se referme jusqu’à m’étouffer, jusqu’à l’asphyxie.
Je me sent prise au piège d’un jeu pour lequel je ne connais pas les règles, un jeu qui n’est que mensonges, trahisons, mesquineries, sans amours et pleins de haines.
Où aller, que faire pour échapper à se manège infernale qui me conduit droit dans une descente effrénée en enfer.
J’erre dans ce monde inconnu, hostile à toutes amitiés, toutes ententes. Pourtant un sourire, un regard, une écoute, un mot, ne sont rien, ne coûtes rien.
J’avance, indifférente devant tant de mépris palpable. Je gravite les échelons un à un, pour arriver . . . Où ? Moi-même je ne le sais pas.
Je suis perdue dans un dédalle de pensées que je ne peux enlever de ma tête, qui me fait mal dans tout mon corps, qui me prend mon cœur à en oublier de vivre.
Bats mon cœur, bats pour vivre, bats pour montrer que tu es là, bats pour voir encore le soleil, bats pour sentir mon amour, bats bats bats . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
J'aimerais partir loin de tout, de toute cette agitation autour de moi.
Cette tension qui monte, cette angoisse qui me prend au cou et où un étau se referme jusqu’à m’étouffer, jusqu’à l’asphyxie.
Je me sent prise au piège d’un jeu pour lequel je ne connais pas les règles, un jeu qui n’est que mensonges, trahisons, mesquineries, sans amours et pleins de haines.
Où aller, que faire pour échapper à se manège infernale qui me conduit droit dans une descente effrénée en enfer.
J’erre dans ce monde inconnu, hostile à toutes amitiés, toutes ententes. Pourtant un sourire, un regard, une écoute, un mot, ne sont rien, ne coûtes rien.
J’avance, indifférente devant tant de mépris palpable. Je gravite les échelons un à un, pour arriver . . . Où ? Moi-même je ne le sais pas.
Je suis perdue dans un dédalle de pensées que je ne peux enlever de ma tête, qui me fait mal dans tout mon corps, qui me prend mon cœur à en oublier de vivre.
Bats mon cœur, bats pour vivre, bats pour montrer que tu es là, bats pour voir encore le soleil, bats pour sentir mon amour, bats bats bats . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .