J’aime assez être croqué
Par les crocs blancs de ma femme
Qui toute l’année m’affame
Pour m’avoir trop escroqué
Elle m’a toujours choqué
En sachant jouer la gamme
De la tristesse de l’âme
Due à son cerveau bloqué
Et je reste suffoqué
De l’imaginaire drame
Qui dans le cœur de ma dame
Ne s’est jamais disloqué
Mais j’avoue m’être moqué
De ses dents sans amalgame
Vues chez un hippopotame
Fâché d’être provoqué
Par les crocs blancs de ma femme
Qui toute l’année m’affame
Pour m’avoir trop escroqué
Elle m’a toujours choqué
En sachant jouer la gamme
De la tristesse de l’âme
Due à son cerveau bloqué
Et je reste suffoqué
De l’imaginaire drame
Qui dans le cœur de ma dame
Ne s’est jamais disloqué
Mais j’avoue m’être moqué
De ses dents sans amalgame
Vues chez un hippopotame
Fâché d’être provoqué