J’ai voulu des matins
J’ai gardé sur mon corps des traces de plaisir
Des sillons passagers qui m'ont tant fait gémir
Et dans mes yeux bohêmes l’image d’un sourire
De ce regard rieur qui ornait mes désirs
J’ai voulu des matins aux senteurs de l’amour
Et des nuits de satins et des nuits de velours
J’ai voulu des soleils pour réchauffer ta vie
Et des Lunes si belles pour éclairer tes nuits
J’ai gardé dans mes mains les courbes de ton corps
La chute de tes reins glissant vers les trésors
De ce jardin secret dont je rêvais encore
Quand la nuit solitaire j’attendais les aurores
J’ai gardé bien caché tout au fond de mon cœur
L’espérance d’un jour aux horizons flatteurs
Et dans ma tête se presse en ordre calculé
Ces images en éclairs qu’un jour j’ai souhaité
J’ai voulu feux de joies et mille éclats de rire
Et des chevaux de bois et des fêtes en délire
J’ai voulu posséder ce beau fruit défendu
Qu’un jour infidèle tendrement j’ai mordu
J’ai gardé sur mon corps des traces de plaisir
Des sillons passagers qui m'ont tant fait gémir
Et dans mes yeux bohêmes l’image d’un sourire
De ce regard rieur qui ornait mes désirs
J’ai voulu des matins aux senteurs de l’amour
Et des nuits de satins et des nuits de velours
J’ai voulu des soleils pour réchauffer ta vie
Et des Lunes si belles pour éclairer tes nuits
J’ai gardé dans mes mains les courbes de ton corps
La chute de tes reins glissant vers les trésors
De ce jardin secret dont je rêvais encore
Quand la nuit solitaire j’attendais les aurores
J’ai gardé bien caché tout au fond de mon cœur
L’espérance d’un jour aux horizons flatteurs
Et dans ma tête se presse en ordre calculé
Ces images en éclairs qu’un jour j’ai souhaité
J’ai voulu feux de joies et mille éclats de rire
Et des chevaux de bois et des fêtes en délire
J’ai voulu posséder ce beau fruit défendu
Qu’un jour infidèle tendrement j’ai mordu