Célibataire, des femmes j’en ai aucune
Au début j’ai essayé de vivre avec une brune
A chaque instants, elle me cassait les prunes
Cette mégère en voulait à ma fortune
Après ce fut la vie avec une blonde
Pour elle je me suis installé en Gironde
Autoritaire elle me commandait chaque secondes
Je me suis cassé préférant une vie vagabonde
Ensuite je fis la connaissance d’une rousse
Des yeux verts avec de jolis pamplemousses
Un corps de rêve et une jolie frimousse
Mais elle ne me procurait pas assez de secousses
Une de mes dernière aventure avait la chevelure noire
Ensembles depuis un an cette coquine était éprise de Grégoire
Et pendant qu’elle y était pourquoi pas Emmanuel Moire
Celle-ci je l’ai quittée sans prendre de mouchoir
Il y a quelque temps j’ai vécu avec une grise blanche
C’était pratique on se voyait que les Dimanche
A mes caresses d’expert, elle n’était pas étanche
Elle avait la forme, j’avais du pain sur la planche
En ce moment j’ai trouvé un petit amuse gueule
Tout près de chez moi dans la Calvados a Magny la Freule
Elle est contente quand je lui amène un bouquet de glaïeuls
En soirée ils nous arrivent de partager un bon tilleul
Il m’arrive parfois d’avoir en tête la phrase de mon aïeul
Il était philosophe Papy il disait < Pour vivre heureux il faut vivre seul >
Et tant pis si dans mon grand lit je me caille les meules
Et que j’ai les testicules aussi pendantes que des oreilles d’épagneul
Au début j’ai essayé de vivre avec une brune
A chaque instants, elle me cassait les prunes
Cette mégère en voulait à ma fortune
Après ce fut la vie avec une blonde
Pour elle je me suis installé en Gironde
Autoritaire elle me commandait chaque secondes
Je me suis cassé préférant une vie vagabonde
Ensuite je fis la connaissance d’une rousse
Des yeux verts avec de jolis pamplemousses
Un corps de rêve et une jolie frimousse
Mais elle ne me procurait pas assez de secousses
Une de mes dernière aventure avait la chevelure noire
Ensembles depuis un an cette coquine était éprise de Grégoire
Et pendant qu’elle y était pourquoi pas Emmanuel Moire
Celle-ci je l’ai quittée sans prendre de mouchoir
Il y a quelque temps j’ai vécu avec une grise blanche
C’était pratique on se voyait que les Dimanche
A mes caresses d’expert, elle n’était pas étanche
Elle avait la forme, j’avais du pain sur la planche
En ce moment j’ai trouvé un petit amuse gueule
Tout près de chez moi dans la Calvados a Magny la Freule
Elle est contente quand je lui amène un bouquet de glaïeuls
En soirée ils nous arrivent de partager un bon tilleul
Il m’arrive parfois d’avoir en tête la phrase de mon aïeul
Il était philosophe Papy il disait < Pour vivre heureux il faut vivre seul >
Et tant pis si dans mon grand lit je me caille les meules
Et que j’ai les testicules aussi pendantes que des oreilles d’épagneul