J’ai frôlé le bonheur
Sur des mots qui se dévêtissent
Le long de ses courbes
Le doux privilège
Où rien ne s’abrège
Sous les caresses perdues
Cet ange secret
Là où se dessine
Les dessins de sa peau nue
Le désir des fruits défendus
Cherchant sans fin
Chacune de ses faveurs
Prenant de la hauteur
Dans le discours continu
De l’ombre de sa peau nue
Dans le langage des mots
De ses caresses dissoutes
Le long de ses doigts nonchalants
Tremblant de désir
Sous les plaisirs d’une plume
Des caresses indécentes
Jalouse de la vie
Sous les codes les couleurs des chemins
Vallonnés des envies
Des jardins livrés à l’air libre des plaisirs
Sous le lys de ses saveurs
Sculptant l’orfèvre des souvenirs
L’orchidée du bonheur
Des chemins parfumés
Aux rimes enchantées
Ce parchemin
Parcourant les monts clos
Du creux de ses reins
Où s’offrent concerto
De tous ses doux aveux
Dans l’aube de ses yeux
Imprégnant de sa rosée
L’éternel naturel de mes doigts
Dans le livre de sa foi
Dans le paradis de ses lois
Les rimes égarées
Au fond de ses nuits
Une danse envoûtante
Au son de sa voix
Où se perdent les mots brûlant
Dans le détroit étroit
Le long de ses vertus
D’un amour pas ordinaire
Avec ses accords et ses lois
Où brûle la pensée du désir
De lui appartenir
Pour définir l’avenir
L.Deléglise
Sur des mots qui se dévêtissent
Le long de ses courbes
Le doux privilège
Où rien ne s’abrège
Sous les caresses perdues
Cet ange secret
Là où se dessine
Les dessins de sa peau nue
Le désir des fruits défendus
Cherchant sans fin
Chacune de ses faveurs
Prenant de la hauteur
Dans le discours continu
De l’ombre de sa peau nue
Dans le langage des mots
De ses caresses dissoutes
Le long de ses doigts nonchalants
Tremblant de désir
Sous les plaisirs d’une plume
Des caresses indécentes
Jalouse de la vie
Sous les codes les couleurs des chemins
Vallonnés des envies
Des jardins livrés à l’air libre des plaisirs
Sous le lys de ses saveurs
Sculptant l’orfèvre des souvenirs
L’orchidée du bonheur
Des chemins parfumés
Aux rimes enchantées
Ce parchemin
Parcourant les monts clos
Du creux de ses reins
Où s’offrent concerto
De tous ses doux aveux
Dans l’aube de ses yeux
Imprégnant de sa rosée
L’éternel naturel de mes doigts
Dans le livre de sa foi
Dans le paradis de ses lois
Les rimes égarées
Au fond de ses nuits
Une danse envoûtante
Au son de sa voix
Où se perdent les mots brûlant
Dans le détroit étroit
Le long de ses vertus
D’un amour pas ordinaire
Avec ses accords et ses lois
Où brûle la pensée du désir
De lui appartenir
Pour définir l’avenir
L.Deléglise
