J’ai écrit des mots d’amour qui se sont envolés… sans réponse…
Les larmes au bout de mon crayon, la mine qui peu à peu s’enfonce
Dans mon cœur d’adolescente amoureuse esseulée, blessée…
Il est parti pour d’autres bras jetant mes mots, vulgaire morceau de papier…
Maladroite, dans mes gestes, malhabile dans la vie
J’ai longtemps rêvé de fantaisie, d’un feu qui jaillit
Au plus profond de mon corps aujourd’hui meurtri
Il me reste plus que les mots… alors j’écris…
J’ai écrit des mots d’amour qui se sont envolés sans réponse
Les espoirs au bout de mon crayon, la mine qui peu à peu s’enfonce
Dans mon cœur de femme passionnée délaissée
Il est parti pour d’autres draps, oubliant mes mots, futile morceau de papier
J’ai espéré la passion, les baisers de cinéma
Découvrir le grand amour dans lequel on se noie
Le temps qui n’existe plus, les « toi et moi »
Les années passent et tout s’en va.
J’ai écrit des mots d’amour qui se sont envolés sans réponse
Les sanglots au bout du crayon, la mine qui peu à peu s’enfonce
Dans mon cœur fatigué d’avoir voulu un peu trop y croire
Il est parti sans un regard laissant mes mots gémir au fond d’un tiroir.
Je reste seule avec ma pensée vagabonde
Me laissant guider par mon imagination féconde
A m’inventer un monde fantasque et infini
Puis peu à peu viennent les mots… alors j’écris…
Isabelle Fluckiger Jachym
Les larmes au bout de mon crayon, la mine qui peu à peu s’enfonce
Dans mon cœur d’adolescente amoureuse esseulée, blessée…
Il est parti pour d’autres bras jetant mes mots, vulgaire morceau de papier…
Maladroite, dans mes gestes, malhabile dans la vie
J’ai longtemps rêvé de fantaisie, d’un feu qui jaillit
Au plus profond de mon corps aujourd’hui meurtri
Il me reste plus que les mots… alors j’écris…
J’ai écrit des mots d’amour qui se sont envolés sans réponse
Les espoirs au bout de mon crayon, la mine qui peu à peu s’enfonce
Dans mon cœur de femme passionnée délaissée
Il est parti pour d’autres draps, oubliant mes mots, futile morceau de papier
J’ai espéré la passion, les baisers de cinéma
Découvrir le grand amour dans lequel on se noie
Le temps qui n’existe plus, les « toi et moi »
Les années passent et tout s’en va.
J’ai écrit des mots d’amour qui se sont envolés sans réponse
Les sanglots au bout du crayon, la mine qui peu à peu s’enfonce
Dans mon cœur fatigué d’avoir voulu un peu trop y croire
Il est parti sans un regard laissant mes mots gémir au fond d’un tiroir.
Je reste seule avec ma pensée vagabonde
Me laissant guider par mon imagination féconde
A m’inventer un monde fantasque et infini
Puis peu à peu viennent les mots… alors j’écris…
Isabelle Fluckiger Jachym