Ivresse.
Je te sens venir.
Tue moi.
Prends moi.
Libère moi.
Fait moi voler.
Voilà.
Tu me permets l’ouverture,
Je vois à présent ce que les autres ne voient pas.
J’aime ne pas être réel,
J’aime que ce qui m’entour ne soit qu’un film,
Je veux m’éteindre comme on éteint une flamme,
Que le souffle fasse disparaître
Ce que je n’ai jamais voulu.
Détruis tous ces idiots,
Détruis leurs créations,
Détruis la nature car elle souffre.
Et détruis toi, car sans moi tu n’es rien.
Je veux le néant car je hais les hommes,
Je ne me hais pas car je n’en suis pas un.
Je te sens venir.
Tue moi.
Prends moi.
Libère moi.
Fait moi voler.
Voilà.
Tu me permets l’ouverture,
Je vois à présent ce que les autres ne voient pas.
J’aime ne pas être réel,
J’aime que ce qui m’entour ne soit qu’un film,
Je veux m’éteindre comme on éteint une flamme,
Que le souffle fasse disparaître
Ce que je n’ai jamais voulu.
Détruis tous ces idiots,
Détruis leurs créations,
Détruis la nature car elle souffre.
Et détruis toi, car sans moi tu n’es rien.
Je veux le néant car je hais les hommes,
Je ne me hais pas car je n’en suis pas un.