IVRESSE D’UN MOMENT
Lorsque tu es parti
Je n’ai pu l’avouer
A quel point je t’aimais
Tous les matins d’un des sept jours,
Je venais me réfugier
Dans cet endroit secret
Dans un cadre du monde
Isolée dans ma démarche tramée
Et si souvent perturbée
En ce jour,
Blancheur de calumet
Elle apparaît
A qui saura l’observer
Je dévoilerais
Mes plus beaux attraits
Voilà ce que tu m’as enseigné
Comme on applique des scellés
Sur missive cachetée.
Oui toi le silence, le méchant, le néant,
Le temps d’un trajet que je n’oublierai jamais
Lorsque tu es parti
Je n’ai pu l’avouer
A quel point je t’aimais
Tous les matins d’un des sept jours,
Je venais me réfugier
Dans cet endroit secret
Dans un cadre du monde
Isolée dans ma démarche tramée
Et si souvent perturbée
En ce jour,
Blancheur de calumet
Elle apparaît
A qui saura l’observer
Je dévoilerais
Mes plus beaux attraits
Voilà ce que tu m’as enseigné
Comme on applique des scellés
Sur missive cachetée.
Oui toi le silence, le méchant, le néant,
Le temps d’un trajet que je n’oublierai jamais