Instant de blé
C’est un grand champ de blé, tout est jaune, tout est doré.
Et à côté, un autre champ, vert, gai, le maïs pour s’égarer.
L’épouvantail à disparu, on passe le temps, pour s’amuser.
Et quand je te prends par la taille, lentement, pour t’envoler.
Dans un mouvement du bassin, les corbeaux se sont sauvés.
Le ciel est si bleuté, que même la pluie ne pourrait l’arrêter.
Petit enfant assis, attendant le retour des oiseaux qui, apeurés.
Sont partis voletant, si haut et le soleil ne peut nous réchauffer.
C’est un carré doré, le blé toujours jaune, comme s’il attendait.
Le vert et le gai, quand je te prends par la taille, pour m’égarer.
Le vent se lève et tout autour de nous, le bruit de sa vie, déchirée.
Le gris fait place au bleu, et dans le labyrinthe, l’obscurité se fait.
Alors que le tonnerre et sa tenue d’éclairs, arrive à nous presser.
Alors que les effrois, ont ravagés le blé, et le maïs s’est couché.
Mais le petit si grand, dans sa tête colore, les oiseaux imaginés.
Ne veux pas s’en aller, et attendre encore, de voir si son souhait.
Dans ce grand champ de blé, où tout est doré, tout n’est que paix.
L’épouvantail qui veut avec son ombre, tous les oiseaux chasser.
Dans le champ célébrer, le retour du printemps, bleu, vert et doré.
Nous sommes le présent, maître de notre temps, n’arrêtons jamais.
C’est un grand champ de blé, tout est jaune, tout est doré.
Et à côté, un autre champ, vert, gai, le maïs pour s’égarer.
L’épouvantail à disparu, on passe le temps, pour s’amuser.
Et quand je te prends par la taille, lentement, pour t’envoler.
Dans un mouvement du bassin, les corbeaux se sont sauvés.
Le ciel est si bleuté, que même la pluie ne pourrait l’arrêter.
Petit enfant assis, attendant le retour des oiseaux qui, apeurés.
Sont partis voletant, si haut et le soleil ne peut nous réchauffer.
C’est un carré doré, le blé toujours jaune, comme s’il attendait.
Le vert et le gai, quand je te prends par la taille, pour m’égarer.
Le vent se lève et tout autour de nous, le bruit de sa vie, déchirée.
Le gris fait place au bleu, et dans le labyrinthe, l’obscurité se fait.
Alors que le tonnerre et sa tenue d’éclairs, arrive à nous presser.
Alors que les effrois, ont ravagés le blé, et le maïs s’est couché.
Mais le petit si grand, dans sa tête colore, les oiseaux imaginés.
Ne veux pas s’en aller, et attendre encore, de voir si son souhait.
Dans ce grand champ de blé, où tout est doré, tout n’est que paix.
L’épouvantail qui veut avec son ombre, tous les oiseaux chasser.
Dans le champ célébrer, le retour du printemps, bleu, vert et doré.
Nous sommes le présent, maître de notre temps, n’arrêtons jamais.