Sur la page blanche
De mes nuits blanches
Quand les petits matins déchantent
Que la Souffrance devient Amante
Lorsque ton oreiller s'ennuie
De toutes ces nuits de folie
Lorsque les draps de notre lit
Se glacent de mes insomnies
Lorsque ta place reste vacante
Et ne m'offre que le silence
Que j'ai ce manque de toi
De ton corps, de ta voix
Quand j'ai le mal de toi
Que j'ai le mal de moi
Quand je suis amputée
D'une partie de mon âme
Lorsque mes sens s'embrasent
Et que je me sens femme
Lorsque l'aube blafarde
Me trouve encore en larmes
Puisque la Solitude
Est devenue habitude
Mes mots, sur le papier
Conjuguent encore "Aimer"
Mistou 27 Mars 2017
De mes nuits blanches
Quand les petits matins déchantent
Que la Souffrance devient Amante
Lorsque ton oreiller s'ennuie
De toutes ces nuits de folie
Lorsque les draps de notre lit
Se glacent de mes insomnies
Lorsque ta place reste vacante
Et ne m'offre que le silence
Que j'ai ce manque de toi
De ton corps, de ta voix
Quand j'ai le mal de toi
Que j'ai le mal de moi
Quand je suis amputée
D'une partie de mon âme
Lorsque mes sens s'embrasent
Et que je me sens femme
Lorsque l'aube blafarde
Me trouve encore en larmes
Puisque la Solitude
Est devenue habitude
Mes mots, sur le papier
Conjuguent encore "Aimer"
Mistou 27 Mars 2017