Si tu savais te faire si petit
Que la bêtise des grands
Ne puisse t’atteindre
Mais cependant si fort et sûre de toi
Que pas un instant l’envie
Ne te vienne de les mépriser…
Si tu savais te faire si humble
Que les pensées des autres,
Leurs jugements , leurs suspicions,
Ne creusent dans mon cœur
Aucune ride, aucune blessure…
Si tu pouvais désirer la réussite
Sans te battre pour la posséder
Au détriment des autres,
Sans jalouser la leur
Plus grande que la tienne …
Alors le bonheur serais à ta porte
Il te suffirait, chaque matin de lui ouvrir.
Il serait ton hôte et tu serais le sien.
Que la bêtise des grands
Ne puisse t’atteindre
Mais cependant si fort et sûre de toi
Que pas un instant l’envie
Ne te vienne de les mépriser…
Si tu savais te faire si humble
Que les pensées des autres,
Leurs jugements , leurs suspicions,
Ne creusent dans mon cœur
Aucune ride, aucune blessure…
Si tu pouvais désirer la réussite
Sans te battre pour la posséder
Au détriment des autres,
Sans jalouser la leur
Plus grande que la tienne …
Alors le bonheur serais à ta porte
Il te suffirait, chaque matin de lui ouvrir.
Il serait ton hôte et tu serais le sien.